Portrait de Jacques Chabot (Waremme)

CHABOT Jacques

En mars 2012, CHABOT Jacques est âgé de 58 ans et est le papa de sept enfants.

Il sera tête de liste PS aux prochaines élections communales à Waremme.

Economiste de formation, il est le coordinateur administratif des relations internationales Wallonie Bruxelles.

De 1976 à 1983, il a été conseiller communal de Waremme.

De 1983 à 1996, il a été échevin de Waremme et à gérer diverses compétences (jeunesse, culture, sports, …).

En 1996, suite à la démission de COEME Guy, condamné dans le cadre de l’affaire « INUSOP », il devient bourgmestre de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 2006.

En 2006, il se retire de la vie politique.

Portrait de Vincent Perin (Waremme)

PERIN VincentEn mars 2012, PERIN Vincent est âgé de 40 ans.

Il est gradué en biologie médicale.

Il dirige depuis quelques années une PME qui exporte des pièces de rechange destinées aux engins de génie civil.

Il est le président du Volley-Club de Waremme et l’organisateur du « Beach-Volley », événement du début de l’été qui rassemble la toute grosse foule à Waremme.

Le bois de l’Abbaye se rénove sans cesse (Seraing)

Le Bois de l’Abbaye a été créé en 1983 à Seraing. Il a fusionné en 1998 avec la clinique Joseph Wauters de Waremme pour former le Centre Hospitalier du Bois de l’Abbaye et de Hesbaye (le CHBAH). Ensemble, ils représentent 462 lits, 17.000 hospitalisations par an, 160.000 consultations, 12.500 opérations, 1.300 accouchements et 1.300 membres du personnel. Depuis 2011 et jusqu’en 2014, il s’est lancé dans un vaste plan de rénovation de 51 millions.

 » On a créé de nouveaux bureaux pour y loger l’informatique et la comptabilité, explique Stéphanie De Simone, la directrice. On vient d’ouvrir le nouveau service d’oncologie et on va rénover tout notre service d’urgences cette année encore.  »

Suivront ensuite, en 2013, l’ouverture du nouveau service de soins intensifs de 18 lits et de nouveaux cabinets de consultation en cardiologie.

En juin 2013, la cuisine centrale sera à même de fournir 8.000 repas par jour. Nul doute que d’autres collectivités seront intéressées par les bons petits plats du cuisinier Gérard Filot.

Suivront alors en 2014 un nouveau service d’autodialyse de 16 postes et la transformation du bloc opératoire.

La liste « Waremme Ensemble » pour les prochaines élections communales (Waremme)

En mars 2012, à 7 mois des élections communales, la nouvelle composition politique « Waremme EnsemblE » vient de dévoiler sa liste de 23 candidats prêts à affronter la majorité absolue PS au pouvoir depuis plus de 40 ans dans la capitale hesbignonne en octobre prochain. Formée par les trois partis de l’opposition, cdH-MR-Ecolo, la liste sera emmenée par Frédéric Ruelle. En voici sa composition.

  1. RUELLE Frédéric
  2. EVRAD Paulette
  3. HENRION Lionel
  4. MOTTARD Marie-Noëlle
  5. BATAILLE Thierry
  6. DUBOIS Raphaël
  7. E. C.
  8. VASSAUX Catherine
  9. STRAUVEN Eddy
  10. EL HANI Fattah
  11. ALBERT Martine
  12. BIESEMANS Pascale
  13. VAN MICHEL Alexandra
  14. CHERTON Josette
  15. PIROTTE David
  16. DONNI William
  17. MOOR Laurent
  18. FRITSCHE Delphine
  19. CHAFTI Hynd
  20. PANNEMANS Sophie
  21. MELIN Stéphane
  22. HEYMANS Ghislaine
  23. VRANKEN Jacques

Le Centre des Finances de Waremme

En février 2012, le Centre des Finances de Waremme est installé au n° 36 da la rue Ernest Malvoz, dans l’ancien bâtiment « Belgacom ». Il regroupe les services des Contributions Directes, de la TVA, de l’Enregistrement et du Cadastre.

Le service des Contributions Directes :

  • WIOMONT Philippe, chef de service
  • CANS Marie-Claire
  • DAWANS Marc
  • DELATHUY Paulette
  • DOCQUIER Christian
  • FOSSION Alix
  • FRANCOIS Jacques
  • HUBERT Philippe
  • LABYE Claire
  • LANDERLOOS Nadine
  • LOUVET Michel
  • LUPO Antonietta
  • RASSART Micheline
  • THIRION Marlène.

Le Service de la TVA :

  • BINET Luc, chef de service
  • AMAT Florine
  • COLLIN Baudouin
  • LECLERE Albert
  • MERENNE Pascal
  • PINET Chantal
  • PIRLET Fabienne
  • RODRIQUE Elsa
  • STREEL Baudry.

Le service du Cadastre :

  • VILANOY Gérard, chef de service
  • CRANINX Jean
  • DELANAYE Colette
  • LABASS Sophie
  • MORRENNE Joseph
  • MUERMANS Marc
  • ORBAN José
  • OUFRIGH Jamil
  • VOLONT Johan.

Le service de l’Enregistrement :

  • BOSSUROY Christian, chef de service
  • BOLLINNE Chantal
  • DODEUR Marie
  • FASSOTTE Agnès
  • HENRARD Christine
  • LIEVENS Martine.

La Recette des Contributions, quant à elle, est installée au n° 2 de la rue Joseph Lemaire à Waremme :

  • DANGUY Charles, chef de service
  • FORCEILLE Luce
  • GIGNEZ Muriel
  • MEURICE Isabelle
  • MOUTON Véronique
  • PHILIPPE Odette
  • PIROTTE Chantal
  • REMACLE Nancy
  • THIRION Jean-Louis
  • VAN ROY Véronique.

Travaux de rénovation à la Clinique Notre-Dame de Waremme

En janvier 2012, le service médecine-chirurgie de la clinique Notre-Dame à Waremme est en travaux depuis le mois d’août. D’ici fin 2012, le service sera rénové et un nouveau système de traitement des dossiers infirmiers, informatisé, sera testé. Pour que le service soit géré avec les moyens du 21ème siècle.

Dominique Bovenisty est l’infirmier en chef du service médecine et chirurgie de Notre-Dame. Tous les jours, en plus de côtoyer des patients, des ouvriers défilent dans les couloirs.

 » Le hall du premier étage où se situe le service est déjà rénové. Toutes les chambres le seront également ainsi que la salle des infirmiers, explique Dominique Bovenisty. De plus, mon service teste le dossier infirmier informatisé pour l’ensemble du Centre hospitalier chrétien (CHC) qui comprend notamment la clinique Saint-Joseph à Liège ou l’Espérance à Montegnée. On y encode les paramètres des patients, on programme les soins, on les commente… Ce dossier est accessible à tous les médecins, où qu’ils soient. Ils peuvent ainsi vérifier l’état de leurs patients à distance. Mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit: les docteurs font leur tournée comme d’habitude, le dossier infirmier informatisé, c’est un plus !  »

Autre avantage du dossier: les antécédents sont accessibles en un clic.  » On peut voir sur l’ordinateur l’évolution du patient, mais avoir également accès à ses radios… Pour l’instant, nous avons distribué un formulaire au personnel pour savoir quelles sont leurs connaissances en informatique et des formations seront organisées afin d’en assurer une utilisation optimale.  »

Pour l’infirmier en chef, tous ces travaux n’ont qu’un but: permettre aux malades de recevoir des soins de qualité à proximité de chez eux.

 » Le service datait des années’80. Aujourd’hui, on veut qu’il soit en accord avec son temps. On va installer le wi-fi dans le service, il y aura des lits électriques dans chaque chambre et les chambres seront également repeintes. On va également changer le système d’appel et le système électrique. Avant les chambres étaient seulement équipées d’une arrivée pour l’oxygène, il y aura désormais une arrivée de vide pour les aspirations et une d’air comprimé pour les aérosols notamment  » précise l’infirmier en chef.

 » Aujourd’hui, avec l’évolution de la médecine, on reste de moins en moins à l’hôpital. On doit diminuer les durées de séjour et éviter que les patients ne restent inutilement. Il faut que chaque patient soit dans le bon lit. C’est pourquoi depuis quelques années, on rénove les services. En 2009, les services de médecine et de chirurgie ont été fusionnés afin de permettre la création d’un service de revalidation  » ajoute-t-il encore.

Même si tous ces travaux sont organisés pour un meilleur futur, ils causent quelques désagréments.

 » On est parfois un peu à l’étroit car nous avons dû récupérer une chambre pour y installer notre salle des infirmiers qui est en rénovation. Au fur et à mesure de l’année, des autres chambres seront fermées mais d’autres rouvriront. Le but est de ne pas fermer le service pendant les travaux mais nous faisons attention au bien-être des patients. Lorsque les ouvriers ont dû faire des destructions, nous avons cloisonné afin de ne pas les exposer les patients aux poussières… Mais tous sont conscients que c’est pour leur offrir un meilleur service et beaucoup se réjouissent. Ils ne se plaignent pas, ils voient le bon côté des travaux!  » conclut-il.

La liste de l’opposition pour les prochaines élections communales (Waremme)

Le 27 janvier 2012, ébauche de la liste commune de l’opposition pour les élections communales à Waremme.

1. RUELLE Frédéric. MR, 46 ans, Waremme centre, vit en concubinage, conseiller général aux affaires étrangères.

2. EVRARD Paulette. cdH, 55 ans, Waremme centre, mariée 3 enfants, enseignante pré-retraitée.

3. HENRION Lionel. Ecolo, 33 ans, Lantremange, vit en concubinage, 2 enfants, gestionnaire chez Delta Lloyd, chargé de cours aux HEC.

4. MOTTARD Marie-Noël. MR, 46 ans, Grand-Axhe, 3 enfants, avocate.

5. BATAILLE Thierry. cdH, 38 ans, Petit-Axhe, 3 enfants, enseignant pour les infirmiers.

6. DUBOIS Raphaël. MR, 28 ans, Waremme centre, marié, sans enfant, responsable d’une agence de recrutement.

7. E. C. cdH, 33 ans, 2 enfants, avocat.

?. CHAPI Hynd. Ecolo, 19 ans, étudiante en germanique.

10. EL-HANI Fattah. candidat d’ouverture, 61 ans, Oleye, 3 enfants, commerçant.

23. VRANCKEN Jacques. Ecolo, 69 ans, Waremme centre, 3 enfants, photographe.

« Tête de Boeuf »

tête de boeuf affiche

tête de boeuf affiche

Le 24 janvier 2012, le film « Tête de bœuf » est nominé pour les « Oscar ».

 » Tête de bœuf  » (Rundskop), film notamment tourné à Waremme, crisnée et Oreye, a été nommé dans la catégorie  » Meilleur film en langue étrangère  » pour les prochains Oscar, qui seront décernés le 26 février prochain.

 » C’est fou! Le couronnement d’un travail passionné de toute une équipe « , s’est exclamé mardi l’acteur principal de  » Tête de boeuf  » (Rundskop), SCHOENAERTS Matthias, à la suite de l’annonce de la nomination du film flamand dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère pour les prochains Oscar.

Gagner un Oscar est le summum dans le monde du cinéma, a expliqué le comédien, qui joue à l’écran le rôle du jeune engraisseur VANMARSENILLE Jacky.  » Je n’ai jamais rêvé de remporter un jour un Oscar. Mais cela commence à trotter dans la tête quand le film se retrouve dans la liste des nominations.  » L’acteur ne s’attendait pas à ce que « Rundskop » se retrouve effectivement nommé.  » C’est quand même un film sombre et dur. Et cela n’est pas évident pour le public cinéphile aux Etats-Unis.  » Agé de 34 ans, SCHOENAERTS Matthias a toutefois déjà rêvé, étant enfant, de participer à la coupe du monde de football. Aujourd’hui, il joue toujours en amateur et espère qu’il n’aura pas de match important le jour de la cérémonie.

Il considère également « A Separation » comme le favori des Oscar pour le Meilleur film en langue étrangère, mais estime que le film belge a quand même une chance.  » C’est imprévisible. Cette nomination est déjà une victoire, irréelle. Et si nous remportons l’Oscar, cela sera mérité.  »

Le film « Tête de bœuf » (Rundskop), qui a été tourné en partie à Liège et dans sa province puisque l’histoire se déroule entre Tongres et la cité ardente, a connu une sortie limitée en Wallonie, où quelques salles d’art et d’essai l’ont projeté. Quelque 38.400 spectateurs l’ont vu à Bruxelles et en Wallonie, plus de 420.000 en Flandre.

Le Clap! , le bureau d’accueil des tournages pour les provinces de Liège, Luxembourg et Namur, a aidé à la recherche de certains décors et lieux de tournage. C’est ainsi qu’un appartement de luxe a été déniché aux Terrasses et que l’équipe du film a investi une parfumerie de la rue des Guillemins. L’Ixo Club, une discothèque de Tilff, a également servi de décor au long-métrage.

Le Clap! s’est par ailleurs occupé de recruter des figurants et d’obtenir des autorisations de la police pour des prises de vue à Waremme, Crisnée et Oreye. Ce fut aussi le cas pour une course-poursuite avec de véritables policiers dans les rues de Liège.

Le film a malheureusement connu une sortie limitée dans le sud du pays.  » Il est sorti en Wallonie deux mois après la Flandre et Bruxelles, principalement dans des salles d’art et d’essai « , explique-t-on chez Artémis Production, qui l’a coproduit.

A Bruxelles, 34.282 personnes sont allées le voir au cinéma, contre seulement 4.125 en Wallonie, selon des chiffres du distributeur, Kinepolis Film Distribution (KFD). Sa sortie en DVD avec des sous-titres français, prévue à la mi-2012, devrait lui donner une nouvelle vie.

Réalisé par ROSKAM Michäel R. et produit par VAN LANGENDONCK Bart, le film a bénéficié du soutien de Wallimage, du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du Fonds Flamand pour l’Audiovisuel.

Rundskop a été nommé mardi dans la catégorie Meilleur film en langue étrangère pour les prochains Oscar, qui seront décernés le 26 février prochain.

La S.A. « Colona », entreprise de sauces industrielles (Waremme)

En 50 ans, la société hesbignonne Colona, qui fabrique des sauces alimentaires dans la région de Waremme, a réussi à se positionner sur le marché mondial en réalisant plus de 80 % de ses ventes à l’exportation.

C’est en 1996 que l’entreprise s’est résolue à déménager dans le parc industriel de Waremme, où elle a construit de toutes nouvelles installations. En 2000, c’est l’emballement: les affaires tournent mieux que jamais et obligent Colona à se déployer. Nouveaux investissements, agrandissements: la petite fabrique familiale de sauces compte plus d’une cinquantaine de salariés, personnel propre et intérimaires confondus.

 » La difficulté ne réside pas dans la recherche de profils qualifiés, mais il est de plus en plus difficile de trouver des collaborateurs motivés, déplore Philippe Colon, administrateur-délégué de l’entreprise agroalimentaire. Car nous recherchons des personnes qui ont vraiment envie de s’impliquer dans la vie de notre société « .

Avec un premier marché situé dans l’Hexagone tout proche, l’entreprise veut rester wallonne.

Nous restons à WAREMME

 » Mon frère et moi sommes originaires de Waremme, tout comme l’étaient mon père et mon grand-père, qui ont fondé cette affaire ensemble. Et c’est à Waremme que nous nous sommes développés, surtout lors des 15 dernières années.

On nous a déjà proposé le rachat, la délocalisation de notre production dans des pays où les charges sont plus favorables, mais nous voulons rester à notre place. Et ce n’est pas le succès qui va nous faire changer d’avis: nous resterons dans la ville qui a vu naître notre entreprise « .

Du Personnel local

D’ailleurs de nombreux employés de Colona habitent à Waremme.  » Certains travailleurs viennent à pied, d’autres à vélo. C’est très pratique de pouvoir compter sur des gens qui habitent à quelques minutes de leur lieu de travail « .

En fonction des commandes et des besoins de production, le responsable de la gestion du personnel fait souvent appel à l’intérim.  » Nous sommes actifs dans un secteur très fluctuant au niveau des commandes. En recourant à l’intérim, nous pouvons moduler le nombre de personnes occupées sur les lignes de production de manière optimale. Près de la moitié de nos collaborateurs actuels ont commencé par là « .

Les profils recherchés pour débuter ne sont pas très spécifiques:  » Comme nous formons nous-même notre personnel, on peut déjà viser un emploi avec un bagage d’humanités inférieures. Nous avons recours à l’intérim, c’est vrai, mais les candidatures spontanées sont aussi les bienvenues, de même que les personnes sélectionnées par le Forem. La condition pour rester, c’est de faire preuve de bonne volonté au travail. Avec la mise en route de la nouvelle ligne de production, nous allons créer deux ou trois nouveaux emplois.

Jean-Luc et Philippe Colon, administrateurs de Colona et Waremmiens convaincus.

Portrait de Christophe Hardiquest (Waremme)

HARDIQUEST Christophe

HARDIQUEST Christophe qui participe à l’émission  » Comme un chef  » est un Hesbignon pure souche.

Ce soir débute la deuxième saison de l’émission culinaire de la RTBF  » Comme un chef « . Cette année, pas de candidat de notre région, ni de chef cuisinier… Euh, en fait si. Vous ne le saviez peut-être pas mais HARDIQUEST Christophe, le patron du Bon-Bon, restaurant 1 étoile à Bruxelles, est un Waremmien. Sa famille habite d’ailleurs toujours la région.

À 36 ans, HARDIQUEST Christophe est un des grands chefs actuels de la gastronomie belge. Les connaisseurs le savent. Son restaurant  » Bon-Bon  » à Bruxelles (Woluwé Saint-Pierre exactement) affiche d’ailleurs une étoile au prestigieux guide Michelin.

Et cocorico, ce chef étoilé est de chez nous! Et oui, HARDIQUEST Christophe est Waremmien et il le revendique.  » Je suis né à la clinique Joseph Wauters de Waremme en 1975 « , indique-t-il.  » À l’époque, mes parents habitaient juste derrière, rue des Fabriques. Je suis allé à l’école au Collège St-Louis et à l’Athénée avant de partir à l’école d’hôtellerie de Namur. J’ai aussi joué au foot à Oreye Union. Je suis en tout cas très attaché à mes racines hesbignonnes. D’ailleurs, je reviens souvent dans la région pour voir mes amis et ma famille. Ma grand-mère paternelle habite toujours Waremme. Ma maman vit à Remicourt et mon papa à Awans.  »

Chez sa grand-mère à Crisnée

C’est chez sa grand-mère maternelle que Christophe a découvert le goût de la cuisine artisanale. Son premier fait d’armes culinaires, c’est un gâteau pudding vanille et petits beurres, à 8 ans.

 » Lorsque j’étais gamin, j’allais souvent passer le week-end chez elle « , explique le chef.  » Elle était d’origine tongroise mais vivait à Crisnée. Elle faisait tout elle-même. Son pain, son jambon, son boudin, ses pâtisseries… C’était extraordinaire. Elle m’a aussi fait découvrir les fraises écrasées sur la tartine au petit déjeuner. Délicieux. C’est vraiment chez ma grand-mère que ma passion pour l’art culinaire est née.  »

Une passion et une expérience qu’il va transmettre aux candidats de l’émission télévisée de la RTBF  » Comme un chef  » dont le premier volet est diffusé ce soir à 20h20.  » Je trouvais sympa l’idée de coacher des jeunes. J’avais jeté un coup d’œil sur la première saison l’an dernier et c’était pas mal. Depuis qu’il y a toutes ces émissions, beaucoup de gens veulent se lancer dans le métier. C’est bien pour notre profession et nos établissements. L’expérience était en tout cas très chouette. Il y avait des niveaux différents chez les jeunes. Je me suis attaché à tous. Les émissions? Je ne les ai pas vues. Je vais les enregistrer. Je me réjouis de voir ce que ça donne…  »

Le chef du Bon-Bon est fier de ses racines waremmiennes.