Le 1er mars 2012, RENARD Eric est nommé administrateur de la S.A. « Résidence Baccara » qui exploite une Maison de Repos pour personnes âgées au n° 6 de la rue des Combattants à Waremme.
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Mort de Fernand Dirick (Waremme – Liège)
Le 18 avril 2012, DIRICK Fernand, de Waremme, décède à Liège à l’âge de 88 ans. Sa veuve est MIEVIS Denise. Il était natif de Lantremange. Il sera inhumé dans le caveau familial au cimetière de Lantremange.
Les Titres-Services « Flex point Wallonie » (Waremme – Hannut)
Le 1er janvier 2012, la SPRL Flex Point Wallonie » de Hannut ouvre une entreprise de titres-services au n° 16 de la rue Joseph Wauters à Waremme. A cet endroit se trouvait précédemment la boutique de vêtements « Benetton ».
Le gérant est la SPRL « Ermar », représentée par MARTENS Eric
Michel Jadoul, bourgmestre (Berloz)
En 2000, JADOUL Michel est nommé bourgmestre de Berloz. Il occupera cette fonction jusqu’en 2012. Il remplace KELKENEERS Joseph. Il est agriculteur.
Mort de Marie Beine (Waremme)
Le 30 mars 2012, BEINE Marie, de Waremme, y décède à l’âge de 87 ans. Son mari veuf est DUMONT Ernest qui a été maquisard armé à Waremme durant la Deuxième Guerre Mondiale. Elle était native de Waremme.
L’Institut de Beauté & Parfumerie Céline (Waremme)
Le 25 mai 2012, GOFFIN Céline ouvre l’Institut de Beauté & Parfumerie « Céline » au n° 42A de la rue Joseph Wauters à Waremme.
Absorption de « Publi-Tout (Waremme – Ans)
En août 2012, la S.A. « Les Editions Liégeoises », entreprise d’édition de Ans, qui a ouvert un bureau au n° 1 de l’avenue Edmond Leburton à Waremme, absorbe la S.A. « Publi-Tout », dont le siège est situé au n° 12 de la rue du Baloir à Waremme..
Publi-Tout sera absorbé (Waremme – Ans)
En juin 2012, la S.A. « Les Editions Liégeoises », entreprise d’édition de Ans, qui a ouvert un bureau au n° 1 de l’avenue Edmond Leburton à Waremme, dépose le projet d’absorption de la S.A. « Publi-Tout » de Waremme.
Les Editions Liégeoises (Waremme)
Le 1er janvier 2012, la S.A. « Les Editions Liégeoises », entreprise d’édition de Ans, ouvre le bureau « Edition Liégeoise – Waremme », au n° 1 de l’avenue Edmond Leburton à Waremme.
Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)
Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.
Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.