Une fresque de Mandela à Waremme ?

Le 16 décembre 2013, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, et l’échevin, MIGNOLET Vincent, annoncent que le collège souhaite réaliser une fresque en hommage à MANDELA Nelson, sur les murs du Centre d’Information, place du Roi Albert 1er.

Le Collège a déja pris contact avec le peintre waremmien, HAUGEN Patrick, qui s’est dit enthousiasmé par le projet.

L’idée sera présentée au Conseil Communal le 30 décembre prochain.

Olivier Thonnon est primé (Waremme – Genval)

Le 8 décembre 2013, le Waremmien THONNON Olivier est sacré « Coiffeur de l’Année », au cours d’une soirée présentée par TATON Julie au château de Genval.

Arrestation dans l’enquête sur la mort de Claudine Lewillon (Waremme)

Le 16 décembre 2013, MARDAGA Marcelle, l’ex belle-fille de LEWILLON Claudine, retrouvée morte le 14 décembre, avoue le meurtre et est placée sous mandat d’arrêt.

MARDAGA Marcelle, âgée de 44 ans, avait entamé une relation avec le fils de la victime en août dernier. La rupture est survenue en octobre. L’après-midi du drame, elle a eu une altercation avec son ex-compagnon et a utilisé contre lui un spray au poivre.

LEWILLON Claudine s’est alors rendue chez son ex belle-fille et c’est à cette occasion que MARDAGA Marcelle l’a frappée à coups de couteau. LEWILLON Claudine a rebroussé chemin, mais est décédée de ses blessures avant de pouvoir regagner son domicile. Elle serait morte d’une hémorragie abdominale.

Claudine Lewillon retrouvée morte (Waremme)

Le 14 décembre 2013, le corps de LEWILLON Claudine, née en 1954, est découvert rue de Huy à Waremme, dans une impasse en face du parking du magasin Maximum. Le SMUR de la clinique Notre-Dame ne peut que constater le décès.

Le chef de la zone de police Hesbaye, DEBROUX Jean-Marie, déclare qu’il s’agit d’une mort violente, un coup de couteau à l’abdomen.

Mort de Christophe Delbrouck (Waremme – Huy)

Dans la nuit du 29 au 30 novembre 2013, vers 3h30 du matin, le jeune Waremmien, DELBROUCK Christophe, âgé de 24 ans, perd la vie dans un accident de la route, avenue de l’Industrie à Tihange. Il a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté un poteau. Sa fiancée était WARDEGA Déborah. Il jouait au football pour l’équipe de Fumal. Il était natif de Liège. Il sera inhumé dans le caveau de famille au cimetière de Waremme.

Une chorale née à Waremme

chorale voice of angels

En novembre 2013, la chorale « Voice of Angels » participe à l’émission télévisée « Belgium’s got Talent ».

Ce groupe a vue le jour, il y a 18 ans, dans le Temple Protestant ELIM de Waremme; avant de s’installer à Bruxelles.

Le Temple Protestant de Waremme est situé Chemin des Hirondelles et est sous la responsabilité du pasteur HAUGEN Patrick.

Un investissement de 350.000 euros aux « Petits Gravelots » (Waremme)

Le 16 septembre 2013, le Conseil Communal de Waremme annonce l’aménagement du site des « Petits Gravelots », situé dans le zoning industriel, à côté du parc à conteneurs.

Une dalle de 350.000 euros devrait y être réalisée, afin de se mettre en ordre avec les injonctions de la police de l’environnement.

La piscine de Waremme à nouveau fermée

Le 18 novembre 2013, la piscine de Waremme doit à nouveau être fermée. Des plaques de la sous-toiture se détachent et la structure même semble présenter des risques.

La piscine sera fermée jusqu’au 30 novembre 2013 pour effectuer des travaux de sécurisation.

La directrice du Centre Sportif est LILIEN Anouk.

Le sélectionneur national au stade de Waremme

Le 26 novembre 2013, le sélectionneur de l’équipe nationale de football, WILMOTS Marc, rend visite à l’équipe de Waremme à l’entraînement.

L’entraîneur de Waremme est BINOT Vincent et le défenseur gauche est OUCHAN Hassan.

Deuxième audience pour Daniel François et Alain Michelet (Waremme – Liège)

Le 22 novembre 2013, la 8ème Chambre du Tribunal Correctionnel de Liège poursuit l’examen du dossier à charge de FRANCOIS Daniel, chef de corps de la zone de police de Hesbaye, et de son adjoint, le commissaire MICHELET Alain, poursuivis pour faux en écritures, harcèlement, traitement dégradant et pour avoir involontairement causé la mort de KOCH Sandra. Cette dernière, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils, le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours, un an plus tard, à la prison de Lantin. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs.

Il y a moins de monde dans la salle d’audience, que lors de la séance de la semaine dernière. La présidente du Tribunal  poursuit l’audition des deux prévenus.

 

La problématique du classement sans suite de PV.

La présidente demande quelle était la politique de classement sans suite à PV à Waremme, à l’époque des faits. FRANCOIS Daniel répond que le taux de classement sans suite des PV est de 1% dans la zone; que c’est une pratique ancrée dans la culture policière.

La présidente ajoute que lors de leur interrogatoire, des policiers de Waremme ont déclaré que l’on « écrasait » des PV dans le système informatique, pour éviter toute trace. FRANCOIS Daniel répond  qu’il n’a jamais donné de directive pour qu’on agisse de cette manière.

La présidente poursuit en déclarant que des Waremmiens allaient trouver le bourgmestre, lors de ses permanences sociales, pour que les agents fassent sauter des PV. On serait arrivé à un point que les policiers n’avaient plus envie de verbaliser, parce que « ça ne servait plus à rien ». Tout le monde à Waremme allait tenter sa chance auprès du bourgmestre pour essayer de faire sauter ses PV. Le Ministère Public ajoute que certains policiers renonçaient à verbaliser pour éviter d’avoir des problèmes. MICHELET Alain répond que lorsqu’on le sollicitait pour faire sauter un PV, il en parlait à l’agent. C’est à ce dernier que revenait la décision finale.

La présidente en vient au cas particulier des PV pour mauvais stationnement, dans la rue Zénobe Gramme. FRANCOIS Daniel déclare que KOCH Sandra a verbalisé toute la rue, ce qui a provoqué la colère des riverains. Il dit n’être jamais intervenu dans ce cas particulier. C’est le Parquet qui a classé ces PV. La présidente insiste et demande à FRANCOIS Daniel s’il a parlé de la suite à donner à ces PV avec KOCH Sandra. FRANCOIS Daniel répond que ce n’est pas à un supérieur à « courir » derrière ses inspecteurs. L’avocat de FRANCOIS Daniel ajoute que c’est peut-être un membre du syndicat de police qui aurait abordé le sujet avec KOCH Sandra. MICHELET Alain précise qu’un agent de quartier doit être là pour régler les problèmes et non pour en créer.

 

La problématique de la vérification des domiciliations.

Lors de ses interrogatoires, KOCH Sandra a expliqué qu’elle vérifiait effectivement si les gens habitaient réellement à l’adresse renseignée. Elle a ajouté que certains collègues faisaient cette enquête par téléphone. Elle a déclaré avoir été choquée lorsqu’elle a constaté que des dossiers, pour lesquels elle avait rendu un rapport de non résidence effective, avaient par la suite été acceptés par d’autres agents. MICHELET Alain répond que c’est l’agent de quartier qui décide dans les dossiers de ce genre. Mais il ajoute qu’il n’est pas toujours facile de vérifier si des gens résident bien à une adresse.

 

La problématique des « faux » en matière de PV.

MICHELET Alain conteste vigoureusement cette prévention et déclare n’avoir jamais commis aucun faux.

 

La problématique de harcèlement et de traitement dégradant.

MICHELET Alain déclare qu’il n’a pas harcelé KOCH Sandra et qu’il ne l’a soumise à aucun traitement dégradant. Il ne se sent pas responsable des faits. Tout au plus aurait-il été trop sévère dans l’évaluation de KOCH Sandra. Il ne se sent pas responsable de cet instant de folie. Pour lui, l’acte de KOCH Sandra est dû à une constellation de choses. Elle pouvait avoir un problème au travail, mais aussi de famille, de santé, … C’est une multitude de soucis qui l’a amenée à commettre cet acte horrible. Si le travail en faisait partie, ce n’était peut-être qu’un élément parmi d’autres.

FRANCOIS Daniel rejette également les préventions qui lui sont reprochées. Il dit s’être peut-être énervé sur KOCH Sandra, mais ne l’avoir jamais insultée. Il rejette toutes les accusations et déclare « n’avoir rien vu venir », sinon il aurait pris des mesures. Il remarque que le passage à l’acte de KOCH Sandra aurait quand même été plus facile avec son arme de service, que par le feu. Il dit avoir des regrets: aucun chef de corps ne souhaite avoir un tel drame dans sa zone.

Fin de l’audience.