En 1597, la peste ravage Waremme. Les pestiférés sont abandonnés, au point qu’ils restent sans sépulture. Le bourgmestre conclut alors un contrat onéreux, avec une femme courageuse de Liège, pour soigner les malades, ensevelir les morts et même creuser leur fosse.
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Abandon du château (Lamine)
Au 15ème siècle, le château de Lamine est délaissé par les Seigneurs du lieu, les Comtes D’OUTREMONT.
La construction en Hesbaye
A partir de 476, à la chute de l’Empire Romain, l’art de bâtir en pierre disparaît progressivement en Hesbaye. Les nouvelles constructions seront faites de bois et de torchis.
Production de sucres raffinés (Oreye)
En 1981, dans le cadre du plan de spécialisation de la Raffinerie Tirlemontoise, la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye abandonne la production et le conditionnement des sucres ménagers, pour se consacrer principalement à la fabrication de sucres raffinés pour l’industrie et l’artisanat. Sa capacité est de 5.000 tonnes de betteraves par jour.
Elle doit alors sa renommée, en grande partie, à sa spécialité: le Sucre Perle, qui fait le bonheur des boulangers-pâtissiers, ainsi que des amateurs de gaufres, craquelins, brioches et autres gourmandises.
Nomerenge abandonné
En 1956, le hameau de Nomerenge, près de Thys, est abandonné.
L’église est abandonnée (Darion)
Vers 1870, la vieille église romane de Darion est abandonnée, en raison de son état de délabrement.
La maison de Renson Dengis (Oreye)
Le 10 mai 1940, la maison de DENGIS Renson, à Oreye, est touchée par erreur par un obus tiré par un char français, qui voulait atteindre les troupes allemandes, dissimulées dans la campagne de Horpmael, se dirigeant vers Ramkin pour engager le combat.
La façade et l’intérieur de la maison sont gravement endommagés. La famille, indemne, décide d’abandonner l’habitation et de s’enfuir par l’arrière, à travers champs.
Les habitants fuient Borlez
En 1692, les habitants de Borlez sont forcés d’abandonner le village, en raison des exactions de l’armée des Alliés contre la France, forte de 80.000 hommes, qui campe à l’Est de la Mehaigne.
L’école de Hodeige
En 1848, le Conseil de Fabrique d’Eglise de Hodeige abandonne, gratuitement, à la commune, un terrain situé près du presbytère, pour y construire une école et une maison pour l’instituteur du village.
Le vicus de Braives fortifié
Au début du 4ème siècle PCN, une fortification routière est construite au vicus gallo-romain de Braives, pour contrôler la Chaussée Romaine, devenue rocade militaire. D’abord une petite redoute palissée entourée d’un fossé, puis ensuite (vers 325), une tour de garde plus puissante, entourée de fossés plus larges, utilisant des matériaux de remploi, notamment, des pierres sculptées ayant appartenu à des monuments funéraires abandonnés.