Plans de transformation (Remicourt)

Le 10 septembre 1925, l’architecte BRICTEUX est invité au conseil communal de Remicourt pour y présenter les plans d’aménagement en crèche de la maison « COLSON ». Après différentes péripéties, le projet sera finalement abandonné.

L’ancienne maison Delhauteur (Remicourt)

Vers 1989 (?), l’ancienne maison « DELHAUTEUR », où ont habité les institutrices en chef de l’école des filles de Remicourt, Mademoiselle BEERBLOCK et Madame LEUNEN (?), laissée à l’abandon, se dégrade et doit être démolie.

La peste à Waremme

En 1597, la peste ravage Waremme. Les pestiférés sont abandonnés, au point qu’ils restent sans sépulture. Le bourgmestre conclut alors un contrat onéreux, avec une femme courageuse de Liège, pour soigner les malades, ensevelir les morts et même creuser leur fosse.

Abandon du château (Lamine)

Au 15ème siècle, le château de Lamine est délaissé par les Seigneurs du lieu, les Comtes D’OUTREMONT.

La construction en Hesbaye

A partir de 476, à la chute de l’Empire Romain, l’art de bâtir en pierre disparaît progressivement en Hesbaye. Les nouvelles constructions seront faites de bois et de torchis.

Production de sucres raffinés (Oreye)

En 1981, dans le cadre du plan de spécialisation de la Raffinerie Tirlemontoise, la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye abandonne la production et le conditionnement des sucres ménagers, pour se consacrer principalement à la fabrication de sucres raffinés pour l’industrie et l’artisanat. Sa capacité est de 5.000 tonnes de betteraves par jour.

Elle doit alors sa renommée, en grande partie, à sa spécialité: le Sucre Perle, qui fait le bonheur des boulangers-pâtissiers, ainsi que des amateurs de gaufres, craquelins, brioches et autres gourmandises.

L’église est abandonnée (Darion)

Vers 1870, la vieille église romane de Darion est abandonnée, en raison de son état de délabrement.

La maison de Renson Dengis (Oreye)

Le 10 mai 1940, la maison de DENGIS Renson, à Oreye, est touchée par erreur par un obus tiré par un char français, qui voulait atteindre les troupes allemandes, dissimulées dans la campagne de Horpmael, se dirigeant vers Ramkin pour engager le combat.

La façade et l’intérieur de la maison sont gravement endommagés. La famille, indemne, décide d’abandonner l’habitation et de s’enfuir par l’arrière, à travers champs.

Les habitants fuient Borlez

En 1692, les habitants de Borlez sont forcés d’abandonner le village, en raison des exactions de l’armée des Alliés contre la France, forte de 80.000 hommes, qui campe à l’Est de la Mehaigne.