Fin 1918, WAUTERS Alexis, le plus jeune frère de WAUTERS Joseph et WAUTERS Arthur, est arrêté. La justice lui reproche, ainsi qu’à son complice PAQUOT Léopold, d’avoir abattu d’innombrables arbres et de les avoir vendus aux Allemands, via un intermédiaire hollandais.
WAUTERS Alexis sera condamné à 20 ans de travaux forcés et PAQUOT Léopold à 15 ans.
En 1827, Monsieur RENIER est priseur pour l’évaluation du bétail soumis à l’accise sur l’abattage, pour les communes de:
En 1970, les différents établissements scolaires de Waremme sont:
En septembre 2009, les 69 platanes qui bordent l’avenue Henri Monjoie à Waremme sont malades et devront être abattus. Pour l’enlèvement et le broyage, le conseil communal de Waremme a prévu un budget de 15.000 euros.
Avant de s’appeler « Henri Monjoie », cette artère s’appelait avenue des Platanes.
Le 4 octobre 2010, le conseil communal de Waremme décide de faire abattre une septantaine d’érables et de cerisiers du Japon, malades, qui bordent l’avenue Emile Vandervelde à Waremme.
Le 11 décembre 2006, les travaux d’abattage, des 52 peupliers de la Drève de Longchamps à Waremme, sont entamés. Cela fait plus d’un an que le propriétaire du terrain, DE LA FAILLE François-Xavier, a averti la commune de la dangerosité du site, car des branches et même des arbres menaçaient de tomber, mettant en danger les promeneurs. Le bois des arbres abattus servira à faire des palettes et des caisses Des chênes rouges d’Amérique seront replantés à cet endroit.
En juillet 2003, l’abattage des 800 peupliers, sur le site de la future « Maison de Hesbaye », est en cours. Certains riverains sont choqués par les conséquences que cela entraîne sur la nidification des oiseaux qui fréquentent cette peupleraie. Pour l’échevin et initiateur du projet, MEUREAU Robert, il n’était pas possible de modifier la période d’abattage, en raison de délais liés à l’obtention des subsides.
Le 31 janvier 1979, le rideau de peupliers, qui cache les bâtiments du Collège Saint-Louis, avenue du Prince-Régent à Waremme, est abattu.
Le 5 août 1959, les arbres de la Porte de Liège à Waremme sont abattus.
En 1956, les chênes qui bordent la chaussée romaine, sur le territoire de Waremme, sont abattus dans le cadre de la modernisation de cette voie de communication. Une route à quatre bandes sera réalisée.