Oleye voudrait s’affranchir de l’abbaye Saint-Denis

Vers 1157, D’OLEYE Robert, dit « Le Petit », et ses frères D’OLEYE Lambert et D’OLEYE Gontran, sont dénoncés à l’abbaye Saint-Denis de Paris, pour leur velléités d’affranchir le village de celle-ci.

Le curé Gaultier veut plus de revenus (Grand-Axhe – Paris)

En 1164, l’abbé GAULTIER est nommé curé de l’église de Grand-Axhe par l’abbaye de Saint-Denis de Paris. Mais, mécontent du revenu qui lui est assigné, il tente de s’emparer de biens que l’abbaye possède en ce lieu. L’Archidiacre de Liège l’obligera à laisser la jouissance de ces biens à l’abbaye de Saint-Denis.

L’abbé Gérard, curé et prévôt (Grand-Axhe – Oleye)

En 1198, l’abbé (?) Gérard est curé de Grand-Axhe. Il est le prévôt de l’abbaye Saint-Denis de Paris des domaines de Grand-Axhe et d’Oleye.

Construction de la Porte du Prévost (Oleye)

En 1294, le prévôt de Grand-Axhe et d’Oleye, représentant l’abbaye de Saint-Denis de Paris, fait construire une porte près du pont d’Oleye. Elle sera appelée « Porte du Prévost ».

Arnold d’Oleye vend des terres

En 1295, D’OLEYE Arnold vend à l’abbaye de Herckenrode 2 bonniers et demi de terres situés à Opheers.

Grand-Axhe et Oleye vers l’An 1000

Vers l’An 1000, les villages de Grand-Axhe et d’Oleye sont la propriété de l’abbaye Saint-Denis de Paris. Ils sont appelés « prévôtés ». Un administrateur ou « prévôt » se charge de la gestion du domaine, en accord avec le camérier de l’abbaye.

Lambertine de Wanzoulle, abbesse

En 1719, DE WANZOULLE Lambertine est nommée abbesse de la Paix-Dieu. Elle occupera cette fonction jusqu’en 1748.

Adam de Montférrant cède le moulin (Oreye)

En mars 1262, le Seigneur d’Oreye, DE MONTFERRANT Adam et son épouse (?) Elisabeth cèdent 6 bonniers de terres avec le moulin d’Oreye à l’abbaye de Saint-Trond, qui le leur rétrocède à bail à perpétuité.

Gilles-Jean Lejeune cède du terrain à la Paix-Dieu (Oleye)

Le 18 avril 1785, l’abbesse de la Paix-Dieu prétend avoir le droit de placer une échelle pour recouvrir les toits de sa ferme à Oleye. LEJEUNE Gilles-Jean, dont le jardin longe les murs de cette ferme, reconnait son bon droit et lui laisse 12 à 13 pieds de terrain entre la ferme et son jardin.