Le 27 mars 1452, le Prince-Evêque de Liège, DE HEINSBERG Jean, charge DE CORSWAREM Arnould VI, Seigneur de Niel et de Malèves, Bailly de Hesbaye, de mettre l’abbaye de Bonne-Espérance en possession de la Seigneurie de Chaumont.
En novembre 1296, l’abbaye de Flône a des biens à Geer.
Le 18 novembre 1296, DE CORSWAREM Arnould 1er est témoin, au château de Huy, d’un acte du Prince-Evêque de Liège DE CHALON Hugues, ordonnant une enquête sur les dommages causés par le Comte DE LOOZ aux propriétés de l’abbaye de Flône à Geer.
En août 1265, SIBILLE est abbesse de l’abbaye de la Paix-Dieu.
Vers 1260 (?), DE CORSWAREM Aleide et DE CORSWAREM Catherine, filles de DE CORSWAREM Guillaume, sont moniales à l’abbaye de la Paix-Dieu.
Si elles viennent à quitter l’abbaye, celle-ci leur versera à chacune une rente viagère annuelle de 25 muids d’épeautre
Le 5 octobre 1245, le doyen de Saint-Paul à Liège, OTTON, enjoint au desservant de Waleffes-le-Château de mettre DE CORSWAREM Guillaume en demeure d’assurer à l’abbaye de la Paix-Dieu la jouissance de ses biens à Niel.
Le 22 juin 1246, DE CORSWAREM Guillaume ne respectant pas les biens des couvents, le Pape INNOCENT IV prend sous sa protection les biens de l’abbaye de la paix-Dieu situés à Niel et dans les environs.
Le 9 août 1245, DE CORSWAREM Guillaume ne respectant pas les biens des couvents, le Pape INNOCENT IV prend sous sa protection les biens de l’abbaye du Val-Notre-Dame, dont certains sont situés à Corswarem.
Le 28 février 1254, le chevalier DE CORSWAREM Guillaume vend à l’abbaye du Val-Notre-Dame un fief de 2 bonniers de terre arable situé à Corswarem.
En octobre 1239, dans l’église de Momalle, DE CORSWAREM Guillaume ratifie les dernières volontés de son frère, DE CORSWAREM Arnould. A cette occasion, sa mère, DE JENEFFE Marguerite, et son oncle, DE JENEFFE Bauduin, lui enjoignent de ne mettre aucun obstacle à la fondation de l’abbaye de la Paix-Dieu et de fournir des garants à sa mère, procuratrice du nouveau couvent.
En échange de ces promesses, sa mère lui cède une partie des biens reçus de son fil, DE CORSWAREM Arnould: