Michel Dangleur, curé (Berloz)

En 1812, 1813 et 1814, l’abbé DANGLEUR Michel est desservant de l’église de Berloz.

Les prêtres doivent prêter serment de fidélité à la République (Waremme – France)

Le 5 septembre 1797 (19 fructidor de l’An V), un décret du Directoire impose aux ecclésiastiques un « serment de haine à la royauté et de fidélité à la République ». Les réfractaires feront l’objet d’une répression brutale.

Cette exigence divise le clergé waremmien. Le vicaire, DANGLEUR Michel, qui est aussi curé de Berloz (?), refuse de prêter ce serment, alors que le curé DESHAYE Gérard-Joseph accepte. Une chasse aux prêtres non assermentés est organisée dans le canton de Waremme. Ainsi, les curés de Crenwick, de Boëlhe, de Rosoux, de Darion, d’Omal, de Geer, de Grand-Axhe, de Bovenistier, de Donceel, de Hodeige, de Pousset, de Bleret, de Bergilers, de Hollogne-sur-Geer, de Limont et de Viemme.

Beaucoup de prêtres réfractaires se cacheront pour éviter la déportation. Néanmoins, 8000 d’entre-eux ne pourront y échapper et seront envoyés à Oléron, à l’île de Ré ou en Guyanne. Cependant, s’ils sont âgés ou infirmes, ils seront simplement mis sous surveillance

L’abbé Dangleur condamné à la déportation (Waremme)

En 1793, le prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme, l’abbé DANGLEUR Michel, qui occupait cette fonction depuis 1768, est condamné à la déportation par les autorités révolutionnaires, mais laissé en liberté sous surveillance en raison de son âge.

Démission du prémissaire (Waremme)

En 1768, le prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école STRACMAN Charles démissionne. Il est remplacé par DANGLEUR Michel.

Conflit entre le prémissaire et le curé (Waremme)

En 1728, le nouveau prémissaire de Waremme, DANGLEUR Michel, écrit aux Bourgmestres et Magistrat de la ville (cour de Justice), en raison d’un conflit avec le révérend père BOURDON Charles, curé de la ville, qui prétend avoir droit à cette nomination.