En juin 1944, JAVAUX Norbert construit un abri en béton dans le jardin de sa maison de la rue de Huy à Waremme. Cet abri est pourvu de toutes les commodités, y compris une réserve de nourriture et de boissons.
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Philippe Legros, terrassier (Waremme)
En 1944, le terrassier de Waremme, LEGROS Philippe, qui habite à la rue du Pont, est chargé de creuser 29 tranchées le long des routes à grande circulation, situées sur le territoire de Waremme. Il est entouré d’une équipe d’ouvriers. Pour ces travaux, il sera payé 2.900 francs.
Ces travaux sont exigés par les Allemands. Les tranchées doivent servir d’abri aux troupes en mouvement, en cas d’attaque aérienne alliée.
Des tranchées le long des routes (Waremme)
En 1944, l’archtecte GERBEHAYE fait le relevé des routes, sur le territoire de Waremme, le long desquelles les Allemands réclament que des tranchées soient réalisées, pour servir d’abri aux troupes en mouvement, en cas d’attaque aérienne alliée.
Des tranchées le long des routes (Belgique)
En 1944, l’occupant allemand fait creuser des tranchées le long des routes à grande circulation de Belgique, pour servir d’abri aux troupes en mouvement, en cas d’attaque aérienne alliée. Ces travaux doivent être effectués par les autorités locales.
Le personnel de « Hesbaco » (Waremme)
En juin 1944, une dizaine de personnes sont employées par la société « Hesbaco » de Waremme (anciennement les Etablissements Wéry), située à la rue de Huy à Waremme.
En raison du risque d’attaque aérienne, et sous la pression du personnel, la direction a aménagé un abri au rez-de-chaussée de l’immeuble.
Plus de spectacles ! (Waremme)
Le 12 mai 1944, le comité de l’Union Coopérative signale à la section de Waremme du « Secours d’Hiver » qu’il n’est plus possible d’organiser des spectacles dans la salle du Cinéma Métropole, en raison d’éventuels bombardements, car la salle ne possède pas d’abri assez vaste et son évacuation prendrait trop de temps.
Les habitants des villages voisins viennent se réfugier à Waremme
En ce début de 18ème siècle, Waremme est une ville refuge. En période de troubles, les habitants des villages voisins viennent chercher asile derrière les fortifications de la ville et amènent avec eux leurs grains et leur bétail pour les mettre à l’abri des ennemis.