Projet de travaux à Lantremange

En mars 2021, la ville de Waremme examine la possibilité de sécuriser le carrefour de la rue de Hodeige avec la Chaussée Romaine à Lantremange, car des accidents graves s’y produisent régulièrement.

Limitation de vitesse à Crisnée

Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.

Mort de Jules DUMONT D’URVILLE (France)

accident de meudon

accident de meudon

En 1842, à Meudon en France, DUMONT D’URVILLE Jules, le découvreur de la Terre Adélie, perd la vie dans l’un des premiers accidents ferroviaires de l’Histoire. Le train, dont les voitures sont en bois, déraille et provoque un incendie. 57 personnes sont brûlées vives, dont DUMONT D’URVILLE Jules, sa femme Adèle et leur fils de 16 ans.

Il faut des feux à la Patte d’Oie (Waremme)

Le 25 juillet 1988, le Conseil Communal de Waremme vote une motion exigeant l’implantation de signaux lumineux tricolores au carrefour de la « Patte d’Oie » où se produisent de trop nombreux accidents graves.

L’agent de quartier (Waremme)

En juillet 1985, le rôle d’un agent de quartier à la police de Waremme est avant tout préventif. Sa mission essentielle est d’empêcher que des infractions soient commises ou que des accidents de toutes natures surviennent.

Son rôle social est indéniable. Il doit veiller à la sécurité des personnes et des biens. Il doit renseigner, conseiller, assister, écouter et aidés les administrés.

Création de la Coopérative « La Justice » (Waremme)

création de la coopérative la justice

création de la coopérative la justice

Le 28 septembre 1898,  la Coopérative « La Justice » est fondée à Waremme par WAUTERS Joseph, surnommé « Jeck », étudiant à l’université de Liège,alors âgé de 23 ans et quelques amis socialistes waremmiens (1 cultivateur, 1 domestique, 1 journalier, 1 maçon, 1 ébéniste, 3 ouvriers d’usine, 1 charpentier, 1 menuisier). Une autre cheville ouvrière de la coopérative est le comptable, DENIS Désiré. Au départ, les membres se réuniront tous les dimanches matin au café « Au Coeur d’Or » (local des Libéraux !).

Par la suite, la Coopérative s’installe rue de la Station, mais elle dispose d’une boutique rue du Pont (au n° 35 de la future rue Hubert Stiernet), louée pour 450 francs par an. En plus des produits alimentaires, on y vend des ustensiles ménagers variés. Avec l’argent des premières cotisations, la coopérative achète une charrette et un cheval. Elle va mettre en place une mutuelle d’achats.

Son but principal est d’offrir aux travailleurs des produits de qualité, à un prix accessible et d’intervenir partout, dans les luttes en faveur des pauvres (l’alimentation pèse très lourd dans les budgets). Dans sa « philosophie », tous les profits engrangés doivent retourner aux consommateurs nécessiteux.

Outre l’alimentation, la Coopérative entend offrir d’autres services:

  • une partie du budget servira à alimenter des caisses de pension et d’assurance pour les accidents;
  • un quart des bénéfices sera destiné à soutenir l’action politique;
  • le reste reviendra aux coopérateurs sous forme de ristournes

La coopérative assure une certaine indépendance aux ouvriers.

Les statuts de la coopérative « La Justice » sont rédigés par HENAULT Valère et MOUZON Eugène.

Quelque temps plus tard, une boulangerie s’installe en face, rue du Pont (au n° 32 de l’actuelle rue Hubert Stiernet).

Des charrettes sillonneront régulièrement toute la région, transportant du pain et d’autres marchandises.

Les membres fondateurs de la Coopérative

  • BARTHOLOME J-B
  • BRIEN D.
  • CROTTEUX M.
  • DENIS Désiré
  • DUBOIS A.-J.
  • GOUTERS Charles
  • GRAMME Valentin
  • PIRSON F.
  • PLOMTEUX A.
  • RORIVE Pierre
  • WAUTERS Joseph