En janvier 2018, le personnel du « Refuge de Geer » – créé en 1975 et installé au n° 10 de la rue de Bellevue à Boëlhe, pour accueillir des adultes des deux sexes présentant une déficience mentale modérée à profonde – est composé de:
En 1975, le « Refuge de Geer » est créé et installé au n° 10 de la rue de Bellevue à Boëlhe, pour accueillir des adultes des deux sexes présentant une déficience mentale modérée à profonde.
En 1934, une classe flamande, dite « Classe Privée », est ouverte à l’Institut des Filles de la Croix, à Waremme. Elle accueille les élèves d’expression flamande, qui n’ont pas une connaissance suffisante du français pour suivre les cours avec les autres élèves.
En 1943, des aviateurs anglais abattus sont accueillis et cachés à la ferme BUSTIN, à Pousset.
En 1943, le docteur PIROTTE est installé à Remicourt. Il accueille chez lui des aviateurs anglais abattus.
En 1943 (?), Madame CARTENSTAT habite rue du Cornet, à Momalle. Elle héberge des clandestins dans sa maison.
la ferme blanche
En mars 2017 (?), la maison de repos « La Ferme Blanche » rouvre ses portes, à Remicourt, après rénovation. Avant les travaux, elle s’appelait « Alice au Pays des Merveilles ». La capacité d’accueil passe de 61 à 86 lits. A l’extérieur, 42 places de parking ont été aménagées.
La directrice de l’établissement est PRESSIA Sabine.
alice au pays des merveilles
chalet de Noël
Du 13 au 15 décembre 2013, la 21ème édition du Marché de Noël est organisée Place du Roi Albert 1er, à Waremme. 26 exposants et artisans y accueillent les visiteurs, dans un ambiance festive.
En novembre 2013, le personnel du complexe sportif de Waremme reçoit une formation à l’utilisation du défibrillateur externe automatique (DEA), installé à côté de l’accueil du complexe.
Le 23 juin 1946, les gouvernements belge et italien signent le « Traité belgo-italien sur le charbon » (minatori/carbone), à Rome.
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’Europe se relève péniblement des conséquences du conflit. Il faut faire face aux nombreux défis liés à l’économie. En Belgique, la main d’oeuvre manque. C’est pour répondre à ce besoin que ce traité est conclu.
Afin de gagner la « bataille du charbon », l’accord prévoit l’envoi de 50.000 travailleurs italiens dans les mines belges, contre la fourniture à l’Italie de plusieurs millions de tonnes de charbon annuelles.
La très grande majorité de ces travailleurs provient des régions déshéritées de la péninsule (Abruzzes, Pouilles, Sicile, Vénétie, …). Les conditions d’accueil (comme le logement) sont rudes pour ces immigrants. Les conditions de travail sont pénibles et conduiront à des drames.