Le 31 mai 2017, le conseil communal de Remicourt adopte une motion de méfiance à l’encontre du bourgmestre MISSAIRE Thierry (MR). Il est contraint de démissionner.
Il est accusé de « trahison » et d’incapacité à fédérer.
Le 31 mai 2017, le conseil communal de Remicourt adopte une motion de méfiance à l’encontre du bourgmestre MISSAIRE Thierry (MR). Il est contraint de démissionner.
Il est accusé de « trahison » et d’incapacité à fédérer.
Le 17 mars 1944, le corps sans vie de Monsieur LEMONNIER, qui exploitait un petit magasin à Pousset, est retrouvé dans la campagne. Il a été abattu de plusieurs balles de revolver, par les exécuteurs du Groupe « Zoro ». Il était accusé de collaboration avec l’ennemi et de dénonciation.
Le 11 mars 1881, HALLET Emile, commissaire d’arrondissement de Waremme « ad interim », est accusé de grandes négligences. Son père, HALLET Pierre, en confère à la Chambre avec le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Le 11 décembre 1847, les conseillers communaux de Bergilers, CHRISTOPHE L. et DUBOIS, sont poursuivis devant le tribunal correctionnel de Liège. Ils sont accusés de bris de clôture pour avoir abattu le mur du cimetière de Bergilers, sur les ordres du conseil communal.
Le 8 juin 1794, (le 20 prairial An II), CLOOSSE Pierre, âgé de 53 ans, manoeuvre à Pousset, canton de Waremme, accusé d’avoir volé dans les premiers jours de pluviose An I, 16 gerbes de seigle non battu, dans la grange du citoyen HANNOSSET Jean-Henri, cultivateur à Pousset, est condamné à 6 mois d’emprisonnement et aux frais de la procédure.
Le 7 septembre 1944, l’ancien commissaire de police, HARDY Camille, en place avant le conflit, arrive à l’Hôtel de Ville de Waremme, en grand uniforme et bardé de ses décorations. Il s’en prend à son remplaçant, le commissaire PETERS Lucien, en hurlant à la foule: « Le Commissaire, c’est moi ! Celui-là, c’est un imposteur, un traitre qui a été le valet des Boches. Voilà ce que je fais de ceux qui ont trahi la Patrie … » Il lui arrache les insignes qu’il porte sur son uniforme et lui retire sa mitraillette, sous les applaudissements et les huées de la foule.
HARDY Camille accuse le bourgmestre, JOACHIM Guillaume, d’avoir procédé à son remplacement.
Pour calmer la situation, le représentant de l’Armée Secrète (A.S.), NELIS Gaston, conseille à PETERS Lucien de rentrer chez lui.
Fin février 2008, lors de son audition, JONCKERS Georgette accuse son fils, GILLOT Pascal, et sa belle-fille, VAN KESSEL Nathalie, d’avoir tué VANHAEREN Henri.
Elle déclare même que c’est son fils qui aurait placé l’oreiller sur la tête de son père.
Le 13 février 2008, VAN KESSEL Nathalie, l’épouse du fils de JONCKERS Georgette, dénonce sa belle-mère.
Elle l’accuse d’avoir empoisonné VANHAEREN Henri à Waremme, en 2003.
Le 11 mai 1940, lors d’une réunion extraordinaire, le conseil d’administration de la Mutuelle Socialiste « La Justice » donne mandat à son président, SCHLUSMANS Joseph, de quitter la Belgique avec les fonds de la société et la comptabilité de la clinique Joseph Wauters, dont il est également président, et de les mettre à l’abri en France. Avant de partir, il confie la gestion de la clinique à SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne ».
Il sera accusé d’avoir abandonné son poste de 1er échevin (en contravention avec la loi du 5 mars 1935, dite « Loi Bovesse » qui interdit aux mandataires publics de quitter leur poste, en cas de conflit) et ne le retrouvera pas son retour au courant de l’été.
Il fuit Waremme à bord d’un camion de l’Union Waremmienne, avec sa famille, mais aussi avec: