Waremme envisage l’achat d’un terrain pour y construire les écoles primaires

Le 2 juin 1864, le Conseil Communal de Waremme propose d’acheter une prairie appartenant à Monsieur BOUX de Boëlhe, pour y construire les écoles primaires de la ville.

Le Notaire JACQUES-HOUSSA déclare que cette opération permettrait de relier le centre de Waremme à la station de Chemin de Fer.

Un Syndicat d’Initiative (Waremme)

Le 26 août 1954, le Syndicat d’Initiative de Hesbaye est créé à Waremme, par plusieurs Waremmiens d’horizons divers, à l’initiative de MONJOIE Henri, ayant pour but de mettre en valeur Waremme et ses environs.

L’Assemblée Générale fondatrice est composée de :

  • MONJOIE Henri, président (bourgmestre faisant-fonction de Waremme)
  • DEMUYNCK Armand, secrétaire (employé communal)
  • SACRE Maurice (professeur à l’Athénée Royal)
  • LICOUR Lucien (major honoraire)
  • BEAUDUIN Georges (sénateur et conseiller communal de Waremme)

Grâce à la constitution de cet organisme, le Commissariat Général au Tourisme consentira un subside pour l’achat d’un kiosque (qui sera installé place du Roi Albert 1er) et allouera des subventions pour l’organisation de manifestations folkloriques.

Les anciens biens religieux sont rachetés par des bourgeois (Waremme)

En 1797, à Waremme et dans les environs, les anciens biens religieux sont rachetés par des bourgeois.

L’Etat révolutionnaire a confisqué les biens de l’Eglise pour en faire des « biens nationaux » qui doivent, théoriquement, servir de couverture aux assignats (papier monnaie). En réalité, ces biens sont vendus aux enchères et c’est la bourgeoisie, riche en argent, qui en achète la majorité. Les petits paysans ne savent en acheter qu’un ou deux hectares. On en arrive à une véritable concentration du terroir entre les mains de bourgeois ou de gros paysans.

Certains de ces bourgeois, devenus gros propriétaires de terres, s’établissent à la campagne pour exploiter eux-mêmes leur bien, tels les MASSART à Lantremange.

On ne compte plus que 2 à 3 gros fermiers par village. Les autres habitants ne vivent plus que du travail de leurs mains. La concentration du terroir prépare peut-être la prolétarisation, avant le développement industriel.

Le parc « Réard » acheté par Waremme s’appellera « Parc des Mayeurs »

Le 28 février 2005, la décision est prise d’appeler « Parc des Mayeurs », l’espace Réard, récemment acquis par la ville de Waremme pour y installer un parc public.

Signature de l’achat du Parc « Réard » (Waremme)

Le 7 février 2005, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, et le secrétaire communal, SERVAIS Robert, signent l’acte d’acquisition du parc « Réard », pour y créer un espace vert qui sera appelé « Parc des Mayeurs ».

En décembre dernier, le kinésithérapeute, GOUTERS Christophe, a acquis un bâtiment et une portion du parc, constituant désormais son jardin privé. La ville achète donc le reste du terrain, d’une superficie de 4.415 mètres carrés, pour un montant de 520.000 euros.

L’achat du Parc « Réard » est voté (Waremme)

Le 20 décembre 2004, le conseil communal de Waremme vote, à l’ununimité, l’achat du parc « Réard », le long des rues Lombart, Lejeune et de l’avenue Guillaume Joachim, pour y créer un espace vert communal qui sera appelé « Parc des Mayeurs ». Les aménagements seront étudiés ultérieurement en commission.

L’achat du Parc « Réard » de Waremme sera en partie subsidié par la Région Wallonne

Le 16 décembre 2004, le cabinet du ministre de la Région Wallonne, LUTGEN Benoit, annonce sa décision de subsidier à concurrence de 65% le projet d’achat du parc « Réard » dans le centre de Waremme, pour y créer un espace vert, qui sera appelé « Parc des Mayeurs ». La ville devra payer 264.000 euros sur ses fonds propres.

Waremme envisage l’achat d’un immeuble

Le 17 juin 2002, le conseil communal de Waremme décide l’achat de l’immeuble qui abrite la nouvelle « Maison de l’Emploi » de Waremme, plutôt que sa location.

Lors de cette réunion, on annonce également que le nouveau revêtement du hall omnisport du Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton coûtera 149.937 euros et non les 130.000 euros annoncés (on avait oublié de compter la TVA).

Waremme va racheter l’ancienne gendarmerie

Le 13 septembre 1993, le conseil communal de Waremme vote l’expropriation et l’achat du bâtiment de l’ancienne gendarmerie, situé place du Roi Albert 1er, pour un montant de 10,5 millions de francs belge, malgré les vifs reproches de l’opposition.