En 1895, RENIER Céleste achète du matériel d’imprimerie et s’installe dans les caves du café et relais de Poste « Au Cœur d’Or ». Il achètera par la suite un nouveau bâtiment, sans disposer encore de force motrice. Il utilise encore une presse à bras et des machines « automatiques » mues à la pédale ou au volant, par des apprentis ou plus souvent par des femmes.
En 1891, le bâtiment de l’ancien Hôtel du Chemin de Fer, rue de la Station à Waremme (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid), est incorporé à ceux du Collège Saint-Louis. L’abbé DE JAER Alphonse-Auguste le rachète à JADOUL Théophile.
Ce bâtiment sera plus tard le local de l’Ecole de Sucrerie du Collège.
Le 29 février 1888, deux terrains, appartenant à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, sont vendus en vente publique.
Le pâtissier de Waremme, DELVAUX Joseph, rachète le « pré à tirer » ou « pré des archers ».
D’autres biens de la Confrérie sont aussi vendus:
Le 12 septembre 1884, le conseil communal de Waremme décide d’acquérir un terrain appartenant à FRAIPONT Balthazar, pour y construire une école communale pour garçon, ainsi qu’une école gardienne.
Le 3 mars 1884, le conseil communal de Waremme alloue 200 francs au service des incendies pour l’acquisition d’échelles, de tuyaux et d’autres accessoires.
Le 2 octobre 1867, le tonnelier SCHALENBORG Gérard achète la maison située au n° 79 de la rue du Pont (actuelle rue Hubert Stiernet). Cette maison servira de cadre à l’ouvrage de STIERNET Hubert « Le Roman du Tonnelier.
Le 22 mai 1866, la prairie Boux, d’une superficie de 83 ares 20 centiares, située au pied de la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid), est achetée par la commune de Waremme pour une somme de 22.000 francs.
Le conseil communal désire y installer les Ecoles communales et la Justice de Paix.
L’acte d’achat est passé devant le notaire LEJEUNE Jules.
En 1862, le Baron DE LAFONTAINE achète au Baron DE CHESTRET DE HANEFFE, un terrain, attenant à l’Ecole Moyenne Catholique de Waremme, rue de la Station.
Le 7 mai 1846, en raison de la crise de l’alimentation dans la ville, le conseil communal de Waremme accorde l’autorisation au Bureau de Bienfaisance de la commune, de retirer de la Caisse d’Epargne une somme de 3.000 francs, destinée à l’achat de pommes de terre et autres secours en faveur des indigents. Cette autorisation est accordée sous la condition expresse que la moitié au moins de cette somme soit employée à l’achat de pommes de terre pour la plantation.
En 1831, la ville de Waremme morcelle et vend des tronçons de la levée de terre qui constituait les remparts de la cité. C’est ainsi que PIRSON Renier, le garde-chapêtre BURY et GOFFIN Jacques achètent la partie des remparts située devant chez eux, à la rue des Remparts.