En 1870, un nouveau presbytère est construit par l’administration communale de Momalle, sur la place communale, en face de l’église, sur les vestiges du précédent. Les travaux ont été adjugés à Messieurs BRICTEUX et YANS, d’Oleye.
En 2009, les anciens locaux de l’école et de l’administration communale, de Momalle, sont complètement rénovés, pour accueillir 12 logements sociaux.
En 1870, la commune de Momalle achète un terrain appartenant à la Fabrique d’Eglise et y fait construire de vastes locaux, comprenant une salle de cours pour les garçons, une autre pour les filles, deux habitations pour les instituteurs. L’administration communale est installée au 1er étage.
En 1927, l’administration communale de Momalle acquiert une parcelle de terre pour réaliser la jonction entre la rue de Lens et la rue Derrière l’Abbaye.
Le 11 avril 1944, l’autorité allemande ordonne aux administrations communales de Hesbaye de réquisitionner les fils en acier des clôtures de pâturages. Tous les agriculteurs hesbignons sont concernés par cette mesure. Les occupants ont besoin de barbelés pour renforcer leurs positions sur la Côte Atlantique.
En janvier 1941, l’entreprise de Charbons – Coke « Veuve J. PIRLET-PIROTTE » est installée à Remicourt.
Elle vend 1590 kilos de charbon à l’administration communale de Donceel, pour un montant de 670,80 francs.
jules mélotte
En 1919 (le 10 juillet ?), peu avant sa mort, MELOTTE Jules lègue une somme de 1.400.000 francs à la commune de Remicourt, pour la construction d’une école maternelle et d’un hospice (celui-ci abritera plus tard l’administration communale).
En juin 2016, GUFFENS Annick est employée à l’administration communale de Remicourt, située au n° 5 de la rue Nouvelle Perçée.
La commune de Remicourt comprend également les villages de:
Le 2 avril 2016, le Royal Syndicat d’Initiative de Hesbaye, l’administration communale de Waremme et Radio Nostalgie organisent une grande chasse aux oeufs, dans le Parc des Mayeurs, pour les enfants de moins de 12 ans.
Des milliers d’oeufs en coton sont disséminés dans le parc. Les enfants peuvent les échanger contre du chocolat.
Le parc est divisé en 2 zones, une pour les petits et une autre pour les plus grands.
Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.