En janvier 1941, l’entreprise de Charbons – Coke « Veuve J. PIRLET-PIROTTE » est installée à Remicourt.
Elle vend 1590 kilos de charbon à l’administration communale de Donceel, pour un montant de 670,80 francs.
jules mélotte
En 1919 (le 10 juillet ?), peu avant sa mort, MELOTTE Jules lègue une somme de 1.400.000 francs à la commune de Remicourt, pour la construction d’une école maternelle et d’un hospice (celui-ci abritera plus tard l’administration communale).
En juin 2016, GUFFENS Annick est employée à l’administration communale de Remicourt, située au n° 5 de la rue Nouvelle Perçée.
La commune de Remicourt comprend également les villages de:
Le 2 avril 2016, le Royal Syndicat d’Initiative de Hesbaye, l’administration communale de Waremme et Radio Nostalgie organisent une grande chasse aux oeufs, dans le Parc des Mayeurs, pour les enfants de moins de 12 ans.
Des milliers d’oeufs en coton sont disséminés dans le parc. Les enfants peuvent les échanger contre du chocolat.
Le parc est divisé en 2 zones, une pour les petits et une autre pour les plus grands.
Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.
Le 11 mai 1940, pour faire face aux nombreuses défections d’échevins et de membres du personnel communal, PAQUAY Emmanuel, courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim) à Waremme, se met à la disposition de l’administration communale.
En janvier 1940, l’Hospice MELOTTE Jules est installé à Remicourt. (Dans ces bâtiments s’installeront plus tard les bureaux de l’Administration Communale).
Durant la Seconde Guerre Mondiale, de nombreux actes de sabotage de matériel ferroviaire (voies, cabines de contrôle de trafic, châteaux d’eau pour les locomotives, …) sont perpétrés à Waremme par la Résistance.
Chaque sabotage se traduit par une amende à charge de la commune. Cette pénalité est parfois d’ordre financier, mais le plus souvent elle prend la forme de la fourniture de récepteurs de radio, de bicyclettes, … Ces objets sont fournis par les détaillants locaux, qui les refacturent ensuite à l’administration communale.
Le 28 mars 2015, une grande chasse aux oeufs est organisée au Parc des Mayeurs de Waremme, par le Syndicat d’Initiative, l’Administration Communale et Radio Nostalgie.
Le 2 février 1867, le Conseil de Milice se réunit à Waremme, pour examiner les réclamations des miliciens. Sont présents:
Le Conseil de Milice, composé d’un membre du Conseil Provincial, d’un membre de l’Administration Communale (en tant que conseiller certificateur) et d’un officier supérieur, a dans ses attributions l’admission de miliciens se présentant comme volontaires, substituant ou remplaçant.