En février 2025, la Waremmienne LAHAYE Annick fait partie de l’ASBL « Liège-Ukraine-Solidarité », qui récolte des fournitures pour les envoyer aux Ukrainiens, victimes de l’agression russe.
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Bagarre à Oleye
Le 16 septembre 1778, LEJEUNE Gilles (?), d’Oleye, bat « à sang coulant » RENARD François, qui garde les bêtes à laine de MACAR Jean, dans la campagne au-delà du Geer.
Agression à Wasseiges
Dans la nuit du 19 au 20 avril 2012, les 4 malfrats:
- BUKASA Olivier
- DELHAYE Nathan
- DIOUF David
- DUBOIS Mathieu
pénètrent dans l’habitation d’un couple de Wasseiges et les rossent, devant leur bébé de 10 mois. Ils pensent à tort que l’épouse est gérante de banque. Finalement, ils emportent la voiture de la famille et des armes trouvées dans la maison. Finalement pris et condamnés, ils écoperont de 12 à 14 ans de prison.
Condamnation des agresseurs (Hodeige – Liège)
Le 22 janvier 1476, une amende est infligée par la Cour de Justice de Hodeige, par recharge des échevins de Liège, aux coupables de l’agression du mayeur de Liège, LE PREUDHOMME Collart, originaire de Hodeige, par certains habitants du village:
- 3 florins d’or du Rhin pour les complices de ceux qui ont porté les coups;
- 3 florins d’or pour tous les habitants du village qui se trouvaient sur la place publique au moment des faits;
- l’obligation pour tous les autres habitants, qui n’ont pas assisté aux faits mais qui n’ont pas fait diligence contre les coupables et qui se sont donc rendus coupables de négligence, de venir à Liège pour faire amende honorable au Chapitre de Saint-Denis
L’échevin Delnatte agresse un candidat (Faimes – Borlez)
Fin août 2018, le candidat aux élections communales à Faimes, TIHON Dany, de la liste électorale « Intérêts Citoyens de Gauche Faimoise » (ICGF), est pris à partie par l’échevin de Faimes, DELNATTE Frédéric, alors qu’il distribue ses tracts électoraux dans la rue de ce dernier, à Borlez. Plainte sera déposée.
L’échevin DELNATTE est absent du collège communal de Faimes depuis juin 2017, pour raisons de santé.
Incendie de Waleffe-Saint-Georges
Après 1204, le Duc DE BRABANT Henri 1er conteste la donation du Comté de Moha au Prince-Evêque de Liège, DE PIERPONT Hugues. Il s’attaque au Pays de Liège et à Tongres. Ses soldats incendient le village de Waleffe-Saint-Georges, également appelé « Waleffe-le-Château ».
Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)
Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:
- BOEKER Antoine, dit « Constant »
- MASSART Albert, dit « Max »
- PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
- LITTLE Henry, dit « Jim »
- RORIVE Jean, dit « Grincheux »
- DETHIER Edmond
- FRANKINET Laurent
- YOUNGBLOOD Jérôme
- …
Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.
Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.
Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.
Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.
Des otages à Waremme
Le 30 septembre 1914, le commandant allemand de la place de Waremme enjoint les autorités communales à dresser des listes d’otages qui garantiraient l’absence de sabotages et d’agressions contre les Allemands. S’il s’en produisait, les otages seraient fusillés.
Bien que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, réponde que rien de ce genre ne s’est produit à Waremme, il est contraint d’établir ces listes d’otages, qui sont enfermés à tour de rôle dans les caves de la gendarmerie. Différents notables de la ville seront ainsi désignés.
Les otages reçoivent de la nourriture, mais doivent apporter des couvertures pour passer la nuit.
Affiche de mise en garde (Waremme – Allemagne)
Le 10 août 1914, une affiche est apposée à différents endroits de Waremme, pour mettre en garde la population civile contre toute agression à l’égard des Allemands, pour éviter de sanglantes représailles.
Agression de l’abbé Désiré Materne (Waremme)
Le 19 juillet 1909, à 5 heures 30 du matin, l’abbé MATERNE Désiré, curé-doyen de Waremme, est attaqué dans son jardin, par deux individus de nationalité étrangère. Ils lui assènent plusieurs coups de marteau à la tête.
Gravement blessé, le prêtre perd beaucoup de sang, mais a la force d’appeler au secours. Ces cris poussent les agresseurs à prendre la fuite. Ils seront arrêtés peu après par la gendarmerie.
L’abbé MATERNE, quant à lui, se remettra complètement de ses blessures.