Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)

Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:

  • BOEKER Antoine, dit « Constant »
  • MASSART Albert, dit « Max »
  • PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
  • LITTLE Henry, dit « Jim »
  • RORIVE Jean, dit « Grincheux »
  • DETHIER Edmond
  • FRANKINET Laurent
  • YOUNGBLOOD Jérôme

Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.

Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.

Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.

Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.

Des otages à Waremme

Le 30 septembre 1914, le commandant allemand de la place de Waremme enjoint les autorités communales à dresser des listes d’otages qui garantiraient l’absence de sabotages et d’agressions contre les Allemands. S’il s’en produisait, les otages seraient fusillés.

Bien que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, réponde que rien de ce genre ne s’est produit à Waremme, il est contraint d’établir ces listes d’otages, qui sont enfermés à tour de rôle dans les caves de la gendarmerie. Différents notables de la ville seront ainsi désignés.

Les otages reçoivent de la nourriture, mais doivent apporter des couvertures pour passer la nuit.

Affiche de mise en garde (Waremme – Allemagne)

Le 10 août 1914, une affiche est apposée à différents endroits de Waremme, pour mettre en garde la population civile contre toute agression à l’égard des Allemands, pour éviter de sanglantes représailles.

Agression de l’abbé Désiré Materne (Waremme)

Le 19 juillet 1909, à 5 heures 30 du matin, l’abbé MATERNE Désiré, curé-doyen de Waremme, est attaqué dans son jardin, par deux individus de nationalité étrangère. Ils lui assènent plusieurs coups de marteau à la tête.

Gravement blessé, le prêtre perd beaucoup de sang, mais a la force d’appeler au secours. Ces cris poussent les agresseurs à prendre la fuite. Ils seront arrêtés peu après par la gendarmerie.

L’abbé MATERNE, quant à lui, se remettra complètement de ses blessures.

Un pompier de Waremme est licencié

Le 15 novembre 2010, le conseil communal de Waremme décide de licencier le pompier GEYSENBERGH Benoit, sergent à la caserne de Waremme, pour avoir violemment agressé un collègue, le 27 août dernier.

Le Directeur de l’IPES agressé par un élève (Waremme)

francis sauvage

francis sauvage

En avril 2010, le directeur de l’IPES de Waremme, SAUVAGE Francis, est agressé par un élève de 17 ans, qui lui lance en extincteur en pleine poitrine. Le jeune a été pris d’un coup de folie dans un atelier.

Agression de Fattah el-Hani (Waremme)

Le 13 mars 2006, le sous-chef de gare de Waremme, EL-HANI Fattah, qui est aussi conseiller communal, est agressé sur son lieu de travail.

Agression de la patronne de la taverne de la gare de Waremme

Le 15 mai 2005, la patronne de la taverne de la gare de Waremme « Intercity », place Ernest Rongvaux, est agressée devant son domicile, à Fexhe-le-Haut-Clocher, et se fait dérober environ 1.500 euros.

Un facteur est agressé à Waremme

Le 1er juin 2001, un facteur de la poste de Waremme est agressé au chemin de Petit-Axhe. Deux individus armés lui dérobent sa sacoche, contenant une somme évaluée à 50.000 francs belges.

Un facteur agressé à Waremme

Le 18 août 2000, deux malfrats attaquent un facteur rue de Huy à Waremme. Sous la menace d’une arme, ils lui dérobent sa sacoche contenant environ 120.000 francs belges.