Que mange-t-on à Waremme et dans les villages avoisinants au 16ème siècle ?

Vers 1550, les gens du peuple mangent du pain noir cuit au four banal, de la « potkéze », de la soupe à base de légumes et de lard à l’occasion car la pomme de terre est encore inconnue. On fait des bouillies de seigle ou d’orge, un brouet agrémenté de quelques légumes du potager, rave, navet, poireau, chou, pois… On boit surtout de l’eau, parfois du petit-lait.

Une scène de repas : il n’y a pas de couverts, on mange avec les doigts; on saisit la viande (quand il y en a) prédécoupée dans des plats, on la dépose sur un tranchoir de gros pain (les assiettes n’existent pas) et on la trempe dans une écuelle de sauce disposée pour plusieurs personnes.

La mise en service de la piscine de Waremme pose des problèmes d’alimentation d’eau

En octobre 1972, un dernier test d’étanchéité est effectué à la piscine du Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton. Il nécessite la bagatelle de 600.000 litres d’eau. Il faut étaler l’opération sur 24 heures, de crainte de provoquer des coupures d’alimentation d’eau, notamment dans les établissements hospitaliers.

La Pompe publique de la rue du Pont (Waremme)

En 1920, il y a une Pompe Publique située au pont sur le Geer, rue du Pont à Waremme. Elle alimentera en eau bon nombre de ménages, jusqu’à la mise en service de la distribution d’eau en 1948 (date de la mise en service de la distribution d’eau).

Un nouveau moteur « Moës » (Waremme)

En 1913, la S.A. « Moteurs Moës » de Waremme lance un moteur de type nouveau, alimenté au pétrole ordinaire : le « Compact ». Il permet une économie de 50% par rapport au prix, particulièrement élevé, de l’essence qui alimente les autres moteurs.

ateliers moes 1917

ateliers moes 1917

Des émeutes éclatent à Waremme

Le 5 mai 1790, le prix des vivres provoque une émeute à Waremme.