En 1556, le Père Franciscain, FABRY Godefroid, natif de Hodeige, quitte la Belgique en raison des troubles religieux qui bouleversent le pays. Il se rendra en Espagne (où il séjournera à l’Université d’Alcala), en France, en Allemagne, En Italie, …
Vers 1943 (?), à court d’un tas de choses, les Allemands promulguent une ordonnance visant la réquisition des longs caleçons, à Waremme. L’échevin requis déclare que les Waremmiens n’ont pas de caleçons à livrer, en baissant son pantalon et en disant: « Est-ce que je porte un caleçon, moi … ! »
En 1943, Monsieur SMAL est arrêté par les Allemands et est provisoirement remplacé au Service de Ravitaillement de Remicourt par SAENEN Charles.
Le 17 mars 1943, sur décision allemande, les étudiants et les étudiantes sont tenus d’effectuer un travail obligatoire de 6 mois, en Belgique.
En mars 1942, une ordonnance allemande établit le Travail Obligatoire, ce qui pousse des habitants de Remicourt à prendre le maquis et à renforcer les rangs de la Résistance.
Le 4 décembre 1943, PETITJEAN Paul, instituteur de Remicourt, adhère à l’Union des Prisonniers de Guerre, au Kommando du Brommy 1184 C, du Stalag XC. Il s’agit d’un camp disciplinaire.
En novembre 1943, HORION Antoine, de Remicourt, adhère à la « Mutuelle Léopold III », au Stalag VIII A.
En mai (?) 1940, devant l’invasion allemande, des habitants de Remicourt prennent la route pour la France, notamment:
Le 10 mai 1940, vers 6 h., un avion allemand, qui vole en direction de Waremme, parallèlement à la ligne de chemin de fer Liège – Bruxelles, largue une bombe au lieu-dit « Grosse Pierre » à Remicourt et deux autres dans le bois « GERARD ». LANTIN Jean en est le témoin.
En 1944, les Allemands déclarent que le château d’eau de Remicourt sert de point de repère pour les aviateurs alliés qui partent bombarder le Reich. Ils donnent l’ordre à la commune de peindre l’édifice en vert, sous peine de le dynamiter en cas de non exécution.