En 1960, les autorités communales de Waremme décident d’aménager l’accès au parvis de l’Eglise Saint-Pierre. Ces travaux entraînent la disparition des larges escaliers existants et de deux petites maisons de la rue du Perron.
En 1960, la décision de construire un quartier d’habitations sociales, dans les prairies marécageuses de la Champanette, à Waremme, est prise. Il devrait comprendre 190 maisons. Il sera construit par le « Home Waremmien ».
Les dépenses très élevées de l’aménagement de ce quartier sont supportées par le « Fonds Brunfaut ».
En 1955, à l’occasion de l’électrification de la ligne de chemin de fer, l’échevin des travaux de Waremme, DARMONT Edouard, conduit les ingénieurs du chemin de fer au viaduc de la rue des Prés, pour tenter de les convaincre d’élargir ce goulot qui risque de nuire au projet d’aménagement de la rue des Prés. Il essuie un refus catégorique !
En 1953, la première partie des travaux entrepris dans le cadre de la normalisation du Geer à Waremme est terminée.
Ces travaux sont les suivants:
Le remplacement des des anciens ponts est devenu nécessaire en raison de leur vétusté et de l’étroitesse du passage laissé au cours d’eau, occasionnant les débordements.
En janvier 1948, le conseil communal de Waremme décide de prolonger l’avenue Guillaume Joachim vers la rue Gustave Renier. Cet aménagement est devenu nécessaire car l’Etat a acheté des terrains à cet endroit, pour y construire les nouveaux bâtiments de l’Athénée Royal.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, CLOOTS Gustave est instituteur à l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme. Il habite avenue Guillaume Joachim. Il a aménagé une tranchée dans son jardin.
En 1941, une première salle de gymnastique est aménagée au Collège Saint-Louis de Waremme.
pensionnat des filles de la croix
Le 12 avril 1930, des travaux d’agrandissement sont entrepris au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme:
En 1922, les Mutualités Socialistes achètent un gros immeuble privé situé au n° 42 de l’actuelle avenue Reine Astrid. Elles y aménageront un hôpital qui portera le nom de « Clinique Joseph Wauters ».
En 1894, une salle des fêtes est aménagée au premier étage du Collège Saint-Louis. Au rez-de-chaussée, un large couloir y donne accès. Lorsque l’immeuble voisin était toujours l’Hôtel du Chemin de Fer, ce porche servait d’écurie et de remise pour les attelages des voyageurs.