Inauguration à l’Académie (Waremme)

Le 18 mars 2014, le bourgmestre et président de l’Académie de Musique de Waremme, CHABOT Jacques, inaugure les nouveaux aménagements de locaux de cette institution, au 2ème étage de l’immeuble situé au n° 4 de la rue Charles Lejeune, après plusieurs mois de travaux et 100.000 euros d’investissement:

  • 6 nouveaux locaux, conçus avec l’aide d’acousticiens de l’Université de Liège, adaptés à l’instrument qui y est enseigné.

40 professeurs enseignent à l’Académie.

Ludovic Parthoen, jardinier (Waremme)

En juin 2014, l’entreprise de jardinage « Hesby-Jardinage » est installée au n° 39 de la rue du Haut-Mortier à Waremme. Elle est exploitée par PARTHOEN Ludovic:

  • Tonte pelouse
  • Taille haie
  • Abattage, élagage
  • Tous travaux de jardinage
  • Petit terrassement
  • Petits aménagements extérieurs

La ferme en carré d’Oreye

En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.

Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.

Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:

  • une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
  • dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
  • une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.

La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.

Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.

A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.

Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.

Aménagement du château (Hollogne-sur-Geer)

Au 18ème siècle, de nouvelles modifications sont apportées au château de Hollogne-sur-Geer.

La conscription (France – Belgique)

La conscription est instaurée par la loi Jourdan-Debrel du 17 Thermidor de l’An VI (5 septembre 1798). Elle entre en vigueur en l’An VII et, en France, sera abolie par le Roi LOUIS XVIII en 1814.

En principe, tous les jeunes Français doivent y participer. A l’origine, les plus jeunes conscrits de la classe convoquée doivent partir, sans autre possibilité d’exemption que l’infirmité. Rapidement, des aménagements sont apportés. Les principaux sont la possibilité de se faire remplacer et le tirage au sort.

Le tirage au sort se fait entre les jeunes gens du Canton, au chef-lieu du Canton d’abord, puis au chef-lieu du Département. Les départs à l’armée se font dans un premier temps par une « loterie » au moyen de cailloux blancs ou noirs, puis, à partir de l’An XIII, par des billets sur lesquels sont inscrits des chiffres. L’ordre des numéros obtenus par les conscrits détermine l’ordre des départs, après qu’aient été éliminés les hommes placés dans la Réserve, ajournés ou exemptés.

Le service militaire est de huit ans, chaque année de guerre comptant double. Le gouvernement peut, en cas de nécessité, garder les hommes sous les armes. Environ 25% des conscrits ont été libérés pendant la Paix d’Amiens. Ensuite, jusqu’en 1814, la seule manière légale de quitter les rangs de l’armée sera la mort ou la réforme pour invalidité. Quelques militaires ont bénéficié de congés exceptionnels.

L’instauration de l’Empire amène d’autres aménagements: le fils aîné de parents âgés de plus de 71 ans, l’aîné d’une veuve, le frère d’un militaire en activité de service, mort ou réformé pour invalidité contractée à l’armée sont placés dans la Réserve et ne seront en fait appelés que lors des levées de 1813. Sont définitivement exemptés les réformés pour infirmité, les conscrits mariés avant l’appel et les étudiants se préparant à la prêtrise. Des artistes et les étudiants destinés à certaines professions peuvent aussi être exemptés par le gouvernement. Jusqu’en 1811, les réformés pour taille insuffisante sont définitivement exemptés, mais dans les dernières années de l’Empire, ils peuvent être ajournés pour un nouvel examen à la levée suivante.

Si le motif qui a permis le placement dans la Réserve ou l’exemption disparaissent, le conscrit redevient appelable. L’existence d’un frère enrôlé volontaire ne permet le placement au fond de la Réserve qu’à partir de 1812.

La taille requise pour être soldat ne cessera de diminuer:

  • 1 m 625 jusque l’An VIII
  • 1 m 549 jusqu’en 1813
  • 1 m 495 lors des dernières levées de 1813

Ne pas être compris dans une levée ne permet pas au conscrit de se considérer comme sauvé, car jusqu’en 1813 les hommes ayant tiré au sort depuis 1806 vont être régulièrement convoqués. Les sénatus-consulte du 9 octobre et du 20 novembre 1813 reviennent jusqu’aux classes de l’An XI. En ce qui concerne le Département de l’Ourthe, le préfet refusera de reprendre les listes d’avant 1809, considérant qu’il s’agirait d’un travail inutile.

Le conscrit appelé peut se faire remplacer par un homme, français, de moins de 35 ans, libre d’obligations militaires. Il peut s’agir d’un conscrit de la Réserve, mais si ce dernier est convoqué, le remplacé devra fournir un autre remplaçant ou partir lui-même. En langage de l’époque, on parle de suppléé (celui qui se fait remplacer) et de suppléant (celui qui remplace). Pendant deux ans, le suppléé est responsable du suppléant et si celui-ci déserte, il est tenu de partir immédiatement ou de fournir un nouveau suppléant dans les quinze jours. On peut aussi échanger son numéro avec un conscrit placé plus loin sur la liste. Il s’agit alors de la « substitution ». Celui qui échange est le « substitué », celui qui accepte de partir est le « substituant ». A mesure que se succèdent les levées, de plus en plus gourmandes en hommes, les prix vont monter. En 1798, il est possible de trouver un remplaçant pour 300 francs, et les contrats mentionnent même parfois la possibilité pour le remplacé de se faire rembourser partiellement si la guerre dure moins de six mois. A la fin de l’année 1813, la difficulté de trouver un suppléant est telle que des conscrits ont été obligés de débourser jusqu’à 6.000 francs * pour décider un de ses rares concitoyens disponibles à marcher à sa place.

* (Pour donner une idée de l’importance de cette somme, un ouvrier urbain gagnait un moyenne d’un francs par jour, un journalier dans les campagnes, 85 centimes)

Les nouveaux aménagements de la Gare de Waremme

Le 12 juin 1997, les nouveaux aménagements de la Gare de Waremme sont inaugurés par les représentants de la SNCB et les autorités communales de la ville.

Un nouveau tunnel sous les voies, un nouveau quai le long de la voie vers Bruxelles.

Ce nouveau quai comporte trois accès, par le tunnel sous voies, par le prolongement de la rue de Sélys et par la rue de Huy. Ces travaux s’élèvent à 80 millions de francs belges.

La voirie de Waremme sera aménagée

Le 16 février 2009, le conseil communal de Waremme décide d’acquérir des potelets et des arceaux en vue de protéger la circulation des piétons. Ces aménagements seront effectués avenue Guillaume Joachim (le long de l’Athénée Royal de Waremme), rue des Fabriques et rue Hubert Krains. Le budget prévu est de 40.000 euros.

L’Hôtel de Ville de Waremme est maintenant accessible aux personnes handicapées

Le 7 juin 2004, les travaux d’aménagement de l’hôtel de ville de Waremme, pour le rendre accessible aux personnes handicapées, sont terminés, notamment l’ascenseur et les rampes d’accès. L’ensemble de ces travaux a coûté 250.000 euros, subsidiés à 75% par la Région Wallonne.