Pendant l’hiver 1944 – 1945, un groupe d’habitants de Crisnée travaille pour les Américains:
- DENOMERENGE Pierre
- HANAY Pierre
- LEDUC Louis
- RAYMACKERS Sylvain
- …
Ils chargent des caisses de munition s sur des camions, à destination du front.
Pendant l’hiver 1944 – 1945, un groupe d’habitants de Crisnée travaille pour les Américains:
Ils chargent des caisses de munition s sur des camions, à destination du front.
Le 10 mai 1945, PARENT Pierre, de Crisnée, rentre au village, après 60 mois de détention en Allemagne, libéré par les Américains.
Le 13 août 1945, LEDUC Nicolas, de Crisnée, prisonnier en Allemagne libéré par les Américains, rentre au village avec sa récente épouse BELOSOROWA Maria. Ils devront renouveler les formalités et la cérémonie de mariage.
Le 28 mai 1945, LEDUC Nicolas, de Crisnée, prisonnier en Allemagne libéré par les Américains, épouse BELOSOROWA Maria, de nationalité soviétique, à Crisnée (?).
Le 17 avril 1945, LAHAYE Fernand, de Crisnée, prisonnier en Allemagne, libéré par les Américains, rentre au village.
Le 19 avril 1920, LAHAYE Fernand voit le jour à Crisnée. Ses parents sont LAHAYE Joseph et GILON Joséphine. Il combattra durant la Deuxième Guerre Mondiale. Il sera fait prisonnier près de Saint-Omer. Il sera interné en Allemagne, jusqu’à sa libération par les Américains.
En 1944, au retour d’une visite à Widooie, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore, est renversé par un camion américain. Les militaires lui découvrent de multiples fractures, dont le fémur, le péroné, la rotule, l’avant-bras et l’orbite. Ils le transportent à l’hôpital de campagne américain, installé dans une prairie proche du parc du château d’Otrange.
Le 8 septembre 1944, au matin, le Résistant DAWIR Zénon, d’Oreye, avertit par téléphone son épouse, BONNECHERE Joséphine, que les Américains arrivent pour libérer Waremme et Oreye.
Le 8 septembre 1944, en fin d’après-midi, les premiers soldats américains arrivent au carrefour Ramkin. Le village d’Oreye est libéré.
En septembre 1944, les troupes allemandes en déroute font sauter le pont sur le Geer, rue Voie de Liège, à Oreye, pour retarder l’avance des troupes américaines. Les vitraux des deux nefs de l’église d’Oreye sont brisés par l’explosion