tumulus de la plate tombe
Le 9 décembre 1991, une zone de protection est établie autour du site du tumulus romain, dit « de la Plate Tombe », situé au Sud de Waremme, dans l’angle formé par la Chaussée Romaine et la rue de Tumulus.
Très réduite, sa hauteur n’excède pas 3 m, pour des axes de 19 m sur 18m50. Sa forme, presque carrée à la base, est due aux empiètements des charrues. Le tumulus est enclavé entre deux terrains bâtis.
tabac-cigares gramme
En 1974, le tabac-cigares « Maison Gramme » est installé à l’angle de l’avenue Reine Astrid et de la rue de Huy, à Waremme.
café l’hirondelle
Vers 1912, le café « L’Hirondelle » est installé dans un ancien immeuble situé à l’angle de la rue du Pont et de la rue des remparts, à Waremme. Il est tenu par DELAIRESSE.
En janvier 1940, DELVENNE Irma exploite un café à l’angle de la rue Principale et de la rue Sous-la-Motte, à Bergilers. (Plus tard, cet immeuble sera occupé par la boucherie « TROQUETTE »).
En janvier 1940, PAUWELS Joseph est boulanger à Waremme, avec son frère PAUWELS Mathieu. La boulangerie est installée à l’angle de la rue Visigath et de l’avenue des Platanes (qui deviendra plus tard l’avenue Henri Monjoie). Leur père s’appelait PAUWELS Alfred.
PAUWELS Mathieu sera prisonnier en Allemagne.
En janvier 1940, NAVEAU Ernest habite une vaste propriété à Hollogne-sur-Geer, à l’angle de la rue de Celles et de la rue de Omal.
En 1938, GRAMME Marie exploite un commerce de « tabac-cigares, à l’angle de la rue de Huy et de l’avenue Reine Astrid, à Waremme. L’enseigne « Maison Américaine » orne la façade de l’immeuble.
Le 26 novembre 1938, la procession de la Fête-Dieu traverse les rues du centre de Waremme. GRAMME Marie, tenancière du « Tabac-Cigares », situé à l’angle de la rue de Huy et de l’avenue Reine Astrid, a dressé un petit autel devant son magasin.
En janvier 1940, MICHEL Adelin est instituteur en chef au Collège Saint-Louis de Waremme, situé avenue Reine Astrid.
Il habite à l’angle de la rue de Lantremange (qui deviendra plus tard l’avenue Edmond Leburton) et de la rue d’Oleye.
En mai 1940, le jeune GIELEN Eugène est employé chez son oncle, le pharmacien GIELEN Jean, à l’angle de la rue Joseph Wauters et de la rue Zénobe Gramme à Waremme. Il prépare les ordonnances, après la fermeture de l’officine.
Ses parents habitent et exploitent une ferme à Bettincourt.