Louis-Joseph Hockenziels, remplacé (Waremme)

En 1809, HOCKENZIELS M.-Louis-Joseph, garçon apothicaire à Waremme, conscrit, est remplacé par BERGER Jean-Joseph.

Joseph-Anselme Hockensiels, réformé (Waremme)

En 1814, HOCKENSIELS Joseph-Anselme-Lib., garçon apothicaire à Waremme, conscrit, est réformé pour infirmité.

Naissance de Joseph-Anselme-Libert Hockensiels (Waremme)

Le 13 octobre 1794, HOCKENSIELS Joseph-Anselme-Libert voit le jour et est baptisé à Waremme. Ses parents sont HOCKENSIELS Adrien, pharmacien à Waremme, et PIRARD Marie-Catherine (qui se sont mariés à Berloz le 1er juin 1788). Il sera garçon apothicaire.

Marie-Agnès Noël, servante (Waremme)

En 1763, NOEL Marie-Agnès est servante chez l’apothicaire de Waremme, JACQUES Nicolas-Louis.

Nicolas-Louis Jacques, apothicaire (Waremme)

En 1763, JACQUES Nicolas-Louis est apothicaire à Waremme. Son épouse est BOURDON Marie-Marguerite.

Ils habitent avec:

  • NOEL Marie-Agnès, sa servante, âgée de 18 ans.

Professions exercées par les hommes à Waremme

En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :

  • 1 apothicaire
  • 1 huissier
  • 1 barbier
  • 1 jardinier
  • 7 bergers
  • 57 journaliers
  • 15 boutiquiers
  • 2 maréchaux-ferrants
  • 3 brasseurs
  • 1 médecin
  • 4 cabaretiers
  • 16 menuisiers
  • 8 Charretiers
  • 2 meuniers
  • 3 charrons
  • 2 porchers
  • 1 chirurgien
  • 2 selliers
  • 1 cordonnier
  • 6 tailleurs
  • 1 couvreur de toits
  • 19 tisserands
  • 12 cultivateurs
  • 3 tonneliers
  • 6 domestiques
  • 1 tourneur en bois
  • 8 domestiques de ferme
  • 2 vitriers
  • 1 faiseur de corde

En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.