En janvier et juin 1918, LAMBERT Nestor, élève à l’Ecole Moyenne de l’Etat – Section Commerciale à Waremme, reçoit un témoignage d’Honneur pour ses bonnes notes de conduite et d’application durant ces mois. Le directeur est MARECHAL Maurice.
Archives par mot-clé : application
Jugement en faveur de la veuve Bechet
Le 20 janvier 1604, le Comte DE CORSWAREM Jacques II est mis en demeure par le Prince-Evêque de Liège (?), d’exécuter le jugement prononcé en faveur de la veuve BECHET.
BetterStreet (Waremme)
En mars 2014, depuis quelques semaines, la population de Waremme peut signaler tous les problèmes apparaissant dans l’espace public de la ville via l’application « BetterStreet ».
Le Prince Albert à Remicourt
Le 5 avril (mai ?) 1905, le Prince Albert, futur « Roi Chevalier », visite les usines MELOTTE à Remicourt, fleuron de l’industrie nationale et même européenne, où sont appliquées des méthodes d’organisation ultra-modernes.
Ces méthodes intéressent une délégation américaine qui visite également l’usine et les loue chaleureusement.
Assolement triennal (Hesbaye)
A la fin du 18ème siècle et au début du 19ème siècle, l’assolement triennal avec jachère est pratiqué en Hesbaye.
Pas de Méthode Globale à Momalle
Le 30 octobre 1945, le conseil communal de Momalle refuse d’appliquer la méthode de lecture, dite « Méthode Globale », dans la première année de son école communale.
Le site de l’ancienne râperie pourra être réaffecté (Waremme)
Le 31 octobre 1995, le ministre LEBRUN déclare la désaffectation du site de la râperie du Fond d’Or, à Waremme. Cela permet d’envisager l’application du programme wallon de rénovation des sites d’activités économiques désaffectés.
Charles Gérard au F.I. (Remicourt)
En 1943, l’ancien bourgmestre de Remicourt, GERARD Charles, qui a démissionné pour ne pas appliquer les directives de l’occupant allemand, passe dans la clandestinité, au Front de l’Indépendance (F.I.).
Charles Gérard, bourgmestre démissionnaire (Remicourt – Allemagne)
En juin (?) 1940, le bourgmestre de Remicourt, GERARD Charles, démissionne, pour ne pas appliquer les directives de l’occupant allemand. Plus tard, il passera dans la clandestinité, au Front de l’Indépendance.
Il sera remplacé par HOUSSA Désiré, premier échevin élu sur la liste « MELOTTE ». GERARD Charles reprendra ses fonctions après la Libération.
La « Loi de Liège » en application à Lantremange
En 1445, la « Loi de Liège » est bien en application à Lantremange, au côté de la « Loi d’Aix », malgré les termes de la « Concordia Amicabilis » du 12 mars 1300.
Par l’introduction de sa Loi dans la Justice de Lantremange, le pouvoir liégeois a réalisé un empiètement substantiel, qui servira d’autres desseins. Sans doute, pour l’instant, la Loi de Liège ne s’applique encore qu’aux droits et propriétés du nouveau Seigneur, mais par une extension progressive, elle va s’infiltrer dans d’autres secteurs de la vie juridique et économique de la communauté de Lantremange.
La volonté d’usurpation ne se limite pas au seul village de Lantremange, ni à la Principauté liégeoise. Parmi les voisins de Stavelot-Malmedy, Cologne, Aix-la-Chapelle, les Ducs de Luxembourg et de Limbourg, participent à « la curée ». La petite Principauté ardennaise a toujours souffert de l’absence d’une force armée capable de défendre son droit.