Le 12 mai 1907, le conseil communal de Crisnée approuve les plans et les devis de la construction d’un maître-autel et d’un ciborium pour l’église du village.
Le plan du ciborium est dessiné par le Révérend AUGUSTE Fr., de l’école Saint-Luc à Liège.
Le 12 mai 1907, le conseil communal de Crisnée approuve les plans et les devis de la construction d’un maître-autel et d’un ciborium pour l’église du village.
Le plan du ciborium est dessiné par le Révérend AUGUSTE Fr., de l’école Saint-Luc à Liège.
Le 10 juillet 1928, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer approuve la délibération de la Fabrique de l’église Saint-Brice, qui désire installer l’éclairage électrique dans l’église du village.
Le 22 mars 1947, le conseil communal de Momalle approuve le projet de distribution d’eau alimentaire dans le village.
Le 22 mars 1947, le conseil communal de Lamine approuve le projet de création d’un réseau de distribution d’eau alimentaire dans le village.
Le 3 octobre 1973, le conseil communal de Hodeige approuve l’avant-projet de réseau d’égouts pour le village.
En 2002, un projet de restauration de l’église de Pousset est approuvé pour un montant de 250.000 euros.
Le 25 mars 1946, le Conseil Communal de Pousset approuve le projet de restauration de l’église du village, fortement endommagée par la chute d’un V1 allemand, en janvier 1945. Le montant du projet d’élève à 519.000 francs.
Le 24 janvier 2014, un Conseil Communal Consultatif des Aînés (CCCA) est constitué et approuvé par le Conseil Communal de Faimes.
Il est composé de 15 membres.
Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.
Cette loi accorde:
Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.
Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.
A Waremme:
Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.
La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.
Note:
Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.
Le 15 novembre 1831, la Conférence de Londres approuve la séparation de la Belgique et des Pays-Bas.