Le 9 juillet 1979, le Conseil Communal de Waremme décide de confier à l’Union des Villes et Communes le reclassement des archives selon le système décimal.
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Les Services Communaux à l’Hôtel de Ville de Waremme
En 1970, par l’entrée principale, située au n° 2 de la rue Joseph Wauters, on accède au bureau du Secrétaire Communal, COEME Joseph. Son secrétariat est composé de:
- Monsieur PETITJEAN
- Monsieur MATERNE
- Monsieur DEPREZ
Dans les nouveaux bâtiments, accessibles par l’entrée située Place de l’Eglise, on trouve:
Au rez-de-chaussée
- Le bureau du chômage
- Les archives
Au premier étage
- Le bureau du receveur communal, Madame HUSTIN-PHILIPPET
- Le bureau de l’état civil et des déclarations de naissance, DELARUE J.
- Le bureau de la population et des demandes de pension, Madame THOMAS-JOANNES
Au deuxième étage
- Le bureau de police
- Le bureau du commissaire, VANELDEREN Camille
- Le Parquet de police
- La voirie et les travaux, LEGROS A.
Découverte d’archives de l’ancien hôpital (Waremme)
En 1949, GEUQUET Edmond, employé à la Mutuelle Socialiste, découvre, dans les archives de l’Assistance Publique de Waremme, un gros manuscrit contenant les comptes de l’ancien hôpital de Waremme, pour les années de 1580 à 1593. Ce volume de 172 feuillets semble avoir échappé de peu aux flammes, dont il garde des traces apparentes.
Ignace Mathy confie un coffre à Toussaint Pousset (Waremme)
Le 20 décembre 1809, sentant ses derniers instants arriver, MATHY Ignace, vice-curé de Waremme et dernier Père-Gardien du Couvent des Récollets, confie un coffre, contenant les archives de l’ancien couvent des Récollets, à POUSSET Toussaint qui l’a accueilli après la fermeture du couvent. Il lui fait promettre de de jamais ouvrir ce coffre et de le détruire s’il est obligé de le transmettre à une personne étrangère à la famille.
Des abbayes se disputent la dîme de Lantremange
En 1198, un conflit oppose l’abbaye de Saint-Denis à Paris à l’abbaye de Stavelot-Malmédy, à propos de la dîme de Lantremange et d’Oleye.
DE HEMRICOURT Fastré, l’avoué de ces deux paroisses consulte les archives et constate que la dîme appartient bel et bien à Saint-Denis et que seul un « cens recognitif » doit être versé à l’abbaye de Stavelot-Malmédy. Le conflit est ainsi réglé à l’amiable.