Vente de la ferme en carré de Ligney

En 1817, les descendants de la famille « TOMBEUR – DACOS – PERILLEUX » vendent, par licitation, la ferme en carré de Ligney  (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole), à TOMBEUR Cosme, docteur chirurgien.

Elle comprend un beau corps de logis composé de 13 pièces, tant au rez-de-chaussée qu’au premier étage. Il est surmonté de vastes greniers et est construit sur plusieurs caves, dont une recèle un four. Le ferme comprend également deux vastes granges, trois écuries, deux étables à vaches, une bergerie, des étables, des remises, des fenils, un portail surmonté d’un colombier, une brasserie avec sa chaudière en cuivre et ses cuves, ainsi que d’autres bâtiments ruraux.

Ces bâtiments sont construits à neuf et à la moderne, en pierre de taille, briques et bois, couverts de chaume (à l’exception du portail couvert en ardoises).

Ils entourent une grande cour dans laquelle se trouve un puits.

Un jardin potager et une prairie attenante aux bâtiments et contenant avec l’assise de ceux-ci et la cour une superficie de 165 ares et 60 centiares.

Le château et la ferme en carré de Saives

En 1981, le complexe de l’ancienne Seigneurie de Saives forme un vaste quadrilatère dont le beau château occupe le flanc Nord-Est. Il se dresse dans un cadre de prairies et de vergers.

En briques et pierres de taille sur soubassement de moellons limité par un cordon en biseau, les bâtiments agricoles sont couverts de bâtières à coyau et croupettes en ardoise et Eternit.

L’accès principal à la cour semi-pavée s’effectue par un passage charretier qui se confond avec l’entrée du château, marquée par une belle porte cintrée, entourée de bossages et surmontée d’une corniche saillante. Une pierre portant les armes des VAN DEN STEEN – MEAN orne le centre de cette porte.

Jouxtant l’imposant volume rectangulaire du château, deux petits bâtiments aux pignons débordants, sans doute destinés aux domestiques, amorçant le U des bâtiments agricoles, opèrent la transition entre ceux-ci et la partie seigneuriale.

Plus bas que le château, ces bâtiments agricoles sont divisés en deux niveaux et éclairés de deux larges fenêtres rectangulaires à croisée de pierre qui encadrent une porte à linteau droit.

Des portes charretières, en arc surbaissé, à claveaux passants un sur deux doublé d’un rouleau de briques sur piédroits harpés protégés par des chasse-roues, s’ouvrent sur les prairies qui entourent la quadrilatère et terminent ces deux ailes. Il faut noter que des marques de pose sont visibles sur les claveaux des portes charretières.

Celles-ci se continuent par des étables couvertes de voussettes de briques et perçées à intervalles réguliers de portes, fenêtres et baies gerbières rectangulaires, à encadrement de pierre de taille.

Face au château, la grange en double-large domine la cour de son volume. Une porte saillante en dehors du quadrilatère la prolonge et forme une deuxième grange en long, divisée en deux nefs de quatre travées. Trois portes, en arc légèrement surbaissé, à claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de briques, ouvrent les deux granges.

Une petite cour entourée de murs se greffe à l’extérieur du quadrilatère. A l’intérieur de celle-ci, quelques dépendances et un travail pour ferrer les chevaux.

Travaux à la ferme en carré de Saives

Dans le courant de l’An VII, les toits d’ardoises de la ferme en carré de la Seigneurie de Saives, sont percés de toute part au point que la pluie retombe dans la grange, dans les fenils et sur les planchers.

Les travaux de restauration des toitures sont effectués par le maître-couvreur JAMOTTE F., pour la somme de 149 livres.

Reconstruction de la ferme en carré de Celles

Entre 1760 et 1773, la ferme en carré située à Celles (à l’endroit qui portera bien plus tard le nom de Place Joseph Wauters) est partiellement reconstruite.

Ces travaux nécessitent:

  • 280.000 briques neuves
  • 81.500 ardoises
  • 12.000 pieds de planches de bois blanc
  • des clous
  • du fer
  • de l’étain
  • du plomb (pour la garniture des vitres et ventillons)
  • des pierres
  • de la chaux

La toiture de l’école (Crisnée)

En 1953, la commune de Crisnée remplace la toiture en ardoises de l’école du village et la remplace par une toiture en tuiles « Potelberg ».

Pétry Toitures (Waremme)

En novembre 2017 et mars 2018, l’entreprise « PETRY Toitures » est installée au n° 1 de la rue Champanette à Waremme.

Elle propose:

  • De la zinguerie
  • De la peinture
  • Des charpentes – couvertures (tuiles, ardoises, Eternit, zinc)
  • Des corniches (zinc et PVC)
  • Des plates formes
  • Des recouvrements de pignons
  • La pose de « Vélux »
  • Du démoussage
  • Des réparations et travaux divers

Les travaux sont réalisés par le patron.

La veuve Joachim, négociante (Waremme)

En 1916, le veuve de JOACHIM Henri est négociante à Waremme. Son commerce de « Bois et Matériaux de construction » est installé à la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). Son entreprise dispose d’une scierie mécanique. Elle fore des puits artésiens.

Elle vend:

  • des poutrelles en fer
  • du plâtre et du ciment
  • des carrelages
  • des tuiles et des ardoises
  • des tuyaux en grès
  • des articles pour clôtures

La Chapelle Saint-Agrapha (Borlez)

En 1766, la chapelle Saint-Agrapha est construite à Borlez. De forme octogonale, elle est faite de briques blanches et est surmontée d’un toit cônique en ardoises.

Lambert Malchair, zingueur (Faimes)

En 1954, le zingueur MALCHAIR Lambert est installé au n° 197 de la rue de Huy, à Faimes.

Il réalise et répare des toitures en tous genres:

  • ardoises
  • tuiles
  • Eternit
  • torchettes