Mort de Thierry-Charles Braas (Faimes)

En août 2013, BRAAS Thierry-Charles décède à (?) à l’âge de 73 ans. Il fait du CPAS de Faimes son unique légataire, qui héritera ainsi de plusieurs millions d’euros (en argent, bijoux, biens mobiliers et immobiliers).

Fin de la Berlozienne (Berloz)

En mai 2023, le club de gymnastique « La Berlozienne » cesse ses activités. L’argent résultant de la vente de ses actifs est reversé à la commune de Berloz. La présidente était DEJENEFFE Anne, par ailleurs conseillère communale de Berloz.

Meurtre de Vincent Amico (Grâce-Hollogne – Verlaine)

Le 21 mars 2024, le corps du chauffeur de bus AMICO Vincent, dit « Vincenzo », de Grâce-Hollogne, âgé de 49 ans, est retrouvé, lardé de 30 coups de couteau, dont 4 à la jugulaire, dans l’entrepôt du parking du dépôt du TEC, installé rue de la Station à Verlaine. L’agression ne semble liée ni à sa qualité de chauffeur, ni à un vol, car ses effets personnels avec de l’argent liquide sont retrouvés.

Quentin Habrant, « home-jacker » (Oreye – Waremme)

En août 2016, HABRANT Quentin, d’Oreye, commet un home-jacking à Waremme, avec 2 complices, chez une dame âgée de 71 ans. Ils la menacent d’une arme et volent sa carte de banque et de l’argent.

Concert à l’église Saint-Pierre (Waremme)

Le 22 mai 2022, un concert d’orgue, intitulé « Les Harmonies du Vent », est annoncé à l’église Saint-Pierre de Waremme, pour récolter de l’argent en vue de la restauration de l’instrument.

Les musiciens seront:

  • BREULS Cédric
  • DE MAERE Isabelle
  • LEODET Gisèle
  • MICHAËLIS Corentin
  • RIHON Isabelle

Un lépreux renvoyé (Waremme)

Vers 1590 (?), un lépreux, étranger à la ville, est envoyé à l’hôpital de Waremme. On lui remet de l’argent pour qu’il reparte vers le Brabant, d’où il est venu.

Hubert Mercier avance l’argent pour les travaux (Jeneffe)

En 1739, MERCIER Hubert prête l’argent pour réparer le chœur de l’église de Jeneffe.

Invasion des troupes croates de Jean de Weert (Liège – Hesbaye – Waremme)

Le 18 février 1636, le Baron DE WEERT Jean entre dans la Principauté de Liège avec une armée de 4000 Croates. Ce général, désirant loger ses soldats dans les villes, adresse aux bourgmestres des lettres de convocation, pour se concerter avec eux dans une assemblée générale. Mais le Chapitre de Saint-Lambert et les députés des Etats défendent à ceux-ci de se rendre à cette assemblée et, surtout, de consentir à ce projet

Mais dans l’entretemps, des détachements croates occupent déjà plusieurs Bonnes Villes peu fortifiées, telles Waremme et Looz, et extorquent à d’autres villes (Tongres, Hasselt, Saint-Trond, …), par leurs menaces, de l’argent et des vivres. La plupart des villages de la Hesbaye et de la Campine sont épuisés.

La dîme de Hodeige

En 1790, la dîme de Hodeige est levée sur:

  • 168 bonniers et 2 petites verges et demi de durs grains;
  • 159 bonniers 14 verges grandes et 10 petites d’avoine;
  • 35 bonniers 16 verges grandes et 10 petites de fourrage.

Elle est vendue avec les droits pour 287 muids 1 setier (on a livré comme de coutume 8 muids 4 setiers à la marguillerie de Lamine, 200 gerbes de paille à la cure de Lamine évaluées à 19 florins 10 sols, 308 florins pour le vin de stuit, 250 florins pour « captiver » les repreneurs).

Le tout, sauf les frais, porte 4.053 florins 7 sous. (Les frais s’élèvent à 179 florins 9 sous. Ceux qui ont colligé (?) la dîme reçoivent 100 florins). Il faut donc 4.226 florins 6 sous 1 liard en argent pour payer la dîme de Hodeige.

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.