En 1940 (?), le notaire de Viemme, JAMOULLE Armand rejoint la Résistance avec PIRSON Aril. Il sera surnommé « Prosper » et jouera un rôle important dans l’organisation du groupe « Otarie ».
Armand Jamoulle, Résistant (Viemme)
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Naissance d’Armand Jamoulle (Liège – Celles – Oreye)
Le 22 juin 1857, JAMOULLE Armand-Gérard voit le jour à Liège. Ses parents sont JAMOULLE Auguste et WATRIN Elisabeth, native de Celles. Il épousera DELVIGNE Cécile (fille du notaire d’Oreye DELVIGNE Alexandre-Léopold-Joseph). Il sera notaire. Il sera bourgmestre de Celles.
Nouvelle cloche à Viemme
En 1952, la cloche « Marie-Agnès » est installée à l’église de Viemme. Son parrain est JAMOULLE Armand, notaire à Viemme, et la marraine, JAMOTTE Hyacinthe-Blanche, dite « Mariette », son épouse.
Armand Jamoulle achète un immeuble (Viemme)
En 1928, le notaire JAMOULLE Armand achète une maison rue de Huy à Viemme, presqu’en face du presbytère. Elle servira de salle de spectacle et une pièce sera aménagée en classe gardienne.
La rue Armand Jamoulle (Viemme)
Le 24 avril 1975, le conseil communal de Viemme donne le nom de JAMOULLE Armand à une rue du Village. Il a été notaire et bourgmestre du village.
Armand Jamoulle, bourgmestre (Viemme)
Le 26 septembre 1941, le notaire JAMOULLE Armand est nommé bourgmestre faisant-fonction de Viemme, en remplacement de STASSE Jules, démissionnaire.
Armand Jamoulle, notaire (Viemme)
En 1920, JAMOULLE Armand est nommé notaire à la résidence de Viemme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1964.
Le notaire Jamoulle se retire (Viemme)
En 1964, le notaire JAMOULLE Armand, de Viemme, arrête ses activités.
Armand Jamoulle, notaire ‘Viemme)
En décembre 1939, JAMOULLE Armand est notaire, à Viemme.
« La betterave améliore la salade » (Viemme – Faimes)
Le 3 mars 1944, le notaire JAMOULLE Armand, dit « Prosper », de Viemme, capte le message codé « La Betterave améliore la Salade », sur la BBC. Ce message annonce le parachutage d’armes sur la Plaine « Betterave », près de la chapelle de Saives, à Faimes.
15 conteneurs d’armes, d’explosifs, de friandises, … sont parachutés. Ces fournitures sont cachées, par les Résistants du Groupe Otarie, dans la petite chapelle Saint-Blaise de Saives et dans le dépôt de Borlez.