Le 29 janvier 1849, LEURS Eugène-François voit le jour à Gand. Ses parents sont LEURS Louis-Joseph-Auguste, Lieutenant-Général de l’Armée Belge, et STINGLHAMBER Jeanne-Marie-Catherine-Henriette-Françoise. Il épousera LEJEUNE Jeanne-Ferdinande-Elvire. Il sera ingénieur.
Le 15 février 1879, l’ingénieur LEURS Eugène-François, natif de Gand, épouse LEJEUNE Jeanne-Ferdinande-Elvire à Waremme.
Les parents du marié sont LEURS Louis-Joseph-Auguste, Lieutenant-Général de l’Armée Belge, et STINGLHAMBER Jeanne-Marie-Catherine-Henriette-Françoise. Les parents de la mariée sont LEJEUNE Pierre-Gilles-Joseph-Jules, bourgmestre de Waremme, et CARTUYVELS Caroline-Françoise.
Le 18 août 1914, à 6h. du matin, des automobiles de l’armée belge arrivent à Waremme. Les militaires embarquent les 22 Allemands blessés, parmi lesquels des officiers, et les conduisent à Louvain, Anvers et, de là, en Angleterre.
En 1940, HERTEN Joseph, natif d’Oreye, fait partie de l’intendance à l’Armée Belge et est donc considéré comme non-combattant. Il pourra donc rejoindre sa famille, à Oreye, dès le 10 juin 1940.
En 1927, KINET Joseph, natif de Lantremange, entre au 3ème Régiment aérien.
Le 2 août 1831, rompant l’Armistice signé en 1830, l’armée du Prince d’Orange pénètre en Belgique. Conscient de l’inefficacité de la jeune armée belge, le Roi LEOPOLD 1er sollicite l’appui des grandes puissances. La France répondra à cet appel le 5 août et enverra une armée de 50.000 hommes. Les Hollandais, par crainte de graves complications diplomatiques, se retirent et évitent ainsi l’affrontement avec les Français.
En 1940, D’OTREPPE DE BOUVETTE Jean, de Faimes, intègre l’armée belge et constitue un groupe de Résistants, avec ses frères.
Le 27 mai 1940, RENARD Raymond, de Remicourt, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.
Le 27 mai 1940, MAQUOI Edouard, de Hodeige, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.
Le 27 mai 1940, VANDESANDE Dominique, de Hodeige, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.