Bon nombre d’hommes s’engagent dans les armées françaises. Ainsi, le le 24 juillet 1807, DIRICK J.H., de Lantremange, s’engage comme soldat au 57ème de ligne.
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Le citoyen Aumont, agent des fourrages pour l’armée française (Waremme)
Le 18 août 1794, le citoyen AUMONT est désigné agent en chef des fourrages par le commissaire VAILLANT, ordonnateur de l’armée française.
Le quartier général français s’installe à Waremme
En juillet 1794, le quartier général en chef de l’armée française vient s’établir à Waremme et y séjourne 5 à 6 semaines. Un parc d’artillerie, composé de 7.000 chevaux, est installé auprès du Bois des Deux Tombes de Grand-Axhe et de Celles et y cause de grands dommages. Les autorités françaises réquisitionnent fourrage et grains.
La bataille de Neerwinden (Autriche – France)
La bataille de Fontenoy (France)
Corswarem est pillée par les Français
Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.
Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.
Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.
La bataille de Neerwinden
Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.
Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).
Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.