Le 10 avril 1883, BALAES Guillaume voit le jour à Lens-sur-Geer (?). Ses parents sont BALAES Théodore et RENARS Digne. Il épousera LANGENACKEN Florence. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale. Il mourra en Allemagne 23 jours avant l’Armistice.
Le 18 octobre 1918, BALAES Guillaume, de Lens-sur-Geer, décède en Allemagne (23 jours avant l’Armistice). Sa veuve est LANGENACKEN Florence.
Le (?) 1918, le soldat DESSART Edmond, natif de Les Waleffes, est gravement blessé par une balle allemande tirée à bout-portant. La Croix-Rouge anglaise l’évacue et l’envoie dans un hôpital à Douvres. Il se rétablira et reviendra en Belgique environ 3 mois après l’Armistice.
En 1918, à l’annonce de l’Armistice, le garde-champêtre de Fize-le-Marsal, GUIMY Hubert, tombe mort dans la campagne, près de la chapelle, à l’âge de 69 ans (crise cardiaque ?). Il était veuf de CHARLIER Françoise.
Le 5 juillet 1866, l’Autriche cède la Vénétie à NAPOLEON III et demande l’Armistice.
Durant le Première Guerre Mondiale, ROBINET Jules est le percepteur des postes à Remicourt. Son fils ROBINET Hervé et sa fille ROBINET Zélina espionneront les Allemands. Ils seront arrêtés et internés à la prison Saint-Léonard à Liège. Ils seront sauvés par l’Armistice.
Le 28 septembre 1918, à 6 semaines de l’Armistice, le sergent au 16ème Régiment de Ligne, GILON François, de Crisnée, est tué à Oost-Vleteren, près de Moorslede, à 3 kilomètres de l’Yser. Il sera décoré de la Croix de Guerre. Sa veuve est THIRY Céline.
Le 5 février 1919, MASY Jules, tué quelques jours avant l’Armistice, est inhumé au cimetière de Darion, en présence de 1.500 personnes.
Le 1er novembre 1918, 10 jours avant l’Armistice, le 1er lieutenant MASY Jules, de Darion, décède à Nivelé, près de Gand.
Le 2 août 1831, rompant l’Armistice signé en 1830, l’armée du Prince d’Orange pénètre en Belgique. Conscient de l’inefficacité de la jeune armée belge, le Roi LEOPOLD 1er sollicite l’appui des grandes puissances. La France répondra à cet appel le 5 août et enverra une armée de 50.000 hommes. Les Hollandais, par crainte de graves complications diplomatiques, se retirent et évitent ainsi l’affrontement avec les Français.