Le 12 août 1914, 2.000 cavaliers allemands s’avancent vers Tirlemont, mais l’arrivée des fantassins belges les obligent à faire demi-tour et à se replier dans la direction de Saint-Trond et de Waremme.
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Le Tour de Wallonie à Waremme
Le 1er août 2018, la dernière étape du Tour de Wallonie cycliste professionnel arrive à Waremme, sur la Chaussée Romaine, à hauteur du « Pôle Ballons ».
Prisonniers allemands (Waremme)
Le 18 août 1914, à 6h. du matin, des automobiles de l’armée belge arrivent à Waremme. Les militaires embarquent les 22 Allemands blessés, parmi lesquels des officiers, et les conduisent à Louvain, Anvers et, de là, en Angleterre.
Les Uhlans à Hollogne-sur-Geer
Le 7 août 1914, des Uhlans allemands arrivent à Hollogne-sur-Geer. Un combat s’y engage avec l’arrière-garde d’une compagnie belge du 12ème de Ligne. Trois soldats belges sont tués dans l’affrontement:
- NOTELTERS Constant, de Stabrouck
- VERRYT Jean-Baptiste, de Campenhout
- BEUKEN Joseph, de Remersdael
Les Américains arrivent ! (Waremme – Oreye)
Le 8 septembre 1944, au matin, le Résistant DAWIR Zénon, d’Oreye, avertit par téléphone son épouse, BONNECHERE Joséphine, que les Américains arrivent pour libérer Waremme et Oreye.
Libération d’Oreye
Le 8 septembre 1944, en fin d’après-midi, les premiers soldats américains arrivent au carrefour Ramkin. Le village d’Oreye est libéré.
Le courrier à Oreye
En 1890, une ligne de tram vicinal est établie à Oreye. Jusque-là, le courrier était amené par malle-poste. Dorénavant, la correspondance postale est amenée par le vicinal. Seule la première dépêche du matin arrive encore, chaque jour, dans une petite charrette tirée par deux chiens. Cette situation perdurera jusqu’en 1920.
La Poste d’Oreye
Avant 1870, une sous-perception de la Poste est établie dans la maison « JAMOULLE » à Oreye. Elle est tenue par la Demoiselle BOTTY Marie, aidée d’un facteur. Le courrier (peu nombreux !) arrive par la malle-poste de Waremme.
Annonce d’un commandant pour Waremme
Début août 1942, le lieutenant RASSART est envoyé au lieutenant RENSON, à Waremme, par les autorités de la Résistance, pour lui faire part de l’arrivée imminente d’un commandant de bataillon, le commandant REYNTENS, dont il sera l’adjoint.
Florent Pressia, manutentionnaire (Lantremange – Remicourt)
En janvier 1945, PRESSIA Florent de Lantremange, travaille à la gare de Remicourt, lieu de transit pour les armes et les munitions qui arrivent du port d’Anvers.
Il décharge les lourdes caisses des wagons de chemin de fer et les recharge sur des camions GMC de l’armée américaine. Pour ce travail, il est payé 1000 francs par semaine.