Du 24 au 26 mai 2024, l’exposition « Happy Art » est organisée au hall omnisports d’Oreye, installé au n° 18 de la rue de la Cité. Plus de 70 artistes locaux (peintres et sculpteurs) y exposent leurs œuvres.
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Le parcours Donceel Arts
En juin 2024, VIATOUR Gauthier, conseiller communal, et BRUWIER Marie-Cécile, échevine de la Culture, à Donceel, organisent le parcours « Donceel Arts », au départ du café « Le Vieux Haneffe » et du Hall Omnisports. Plus de 40 artistes y présentent leurs œuvres.
Un cinéma à la Maison du Peuple (Waremme)
En 1929, les gestionnaires de la Maison du Peuple de Waremme et ceux de l’Union Coopérative (dont fait partie la Coopérative « La Justice » de Waremme), décident la création d’un cinéma, voyant en celui-ci un moyen d’ouverture sur le monde.
L’architecte choisi est MOUNTSCHEN Joseph, par ailleurs échevin des travaux à Jupille.
L’espace dévolu au futur cinéma est limité, d’une part, par le magasin de la Coopérative et la Maison du Peuple, situés rue de la Station, et d’autre part, par la « Bergerie » située à l’arrière de ces bâtiments et ouvrant sur la rue Neuve (qui deviendra plus tard la rue Emile Hallet).
La « Bergerie » se situera derrière la scène du théâtre-cinéma et comprendra les loges des artistes. Elle a été tour à tour magasin aux grains et farines, local de différents groupements, salle de répétition et d’exercices pour la gymnastiques.
La conscription (France – Belgique)
La conscription est instaurée par la loi Jourdan-Debrel du 17 Thermidor de l’An VI (5 septembre 1798). Elle entre en vigueur en l’An VII et, en France, sera abolie par le Roi LOUIS XVIII en 1814.
En principe, tous les jeunes Français doivent y participer. A l’origine, les plus jeunes conscrits de la classe convoquée doivent partir, sans autre possibilité d’exemption que l’infirmité. Rapidement, des aménagements sont apportés. Les principaux sont la possibilité de se faire remplacer et le tirage au sort.
Le tirage au sort se fait entre les jeunes gens du Canton, au chef-lieu du Canton d’abord, puis au chef-lieu du Département. Les départs à l’armée se font dans un premier temps par une « loterie » au moyen de cailloux blancs ou noirs, puis, à partir de l’An XIII, par des billets sur lesquels sont inscrits des chiffres. L’ordre des numéros obtenus par les conscrits détermine l’ordre des départs, après qu’aient été éliminés les hommes placés dans la Réserve, ajournés ou exemptés.
Le service militaire est de huit ans, chaque année de guerre comptant double. Le gouvernement peut, en cas de nécessité, garder les hommes sous les armes. Environ 25% des conscrits ont été libérés pendant la Paix d’Amiens. Ensuite, jusqu’en 1814, la seule manière légale de quitter les rangs de l’armée sera la mort ou la réforme pour invalidité. Quelques militaires ont bénéficié de congés exceptionnels.
L’instauration de l’Empire amène d’autres aménagements: le fils aîné de parents âgés de plus de 71 ans, l’aîné d’une veuve, le frère d’un militaire en activité de service, mort ou réformé pour invalidité contractée à l’armée sont placés dans la Réserve et ne seront en fait appelés que lors des levées de 1813. Sont définitivement exemptés les réformés pour infirmité, les conscrits mariés avant l’appel et les étudiants se préparant à la prêtrise. Des artistes et les étudiants destinés à certaines professions peuvent aussi être exemptés par le gouvernement. Jusqu’en 1811, les réformés pour taille insuffisante sont définitivement exemptés, mais dans les dernières années de l’Empire, ils peuvent être ajournés pour un nouvel examen à la levée suivante.
Si le motif qui a permis le placement dans la Réserve ou l’exemption disparaissent, le conscrit redevient appelable. L’existence d’un frère enrôlé volontaire ne permet le placement au fond de la Réserve qu’à partir de 1812.
La taille requise pour être soldat ne cessera de diminuer:
- 1 m 625 jusque l’An VIII
- 1 m 549 jusqu’en 1813
- 1 m 495 lors des dernières levées de 1813
Ne pas être compris dans une levée ne permet pas au conscrit de se considérer comme sauvé, car jusqu’en 1813 les hommes ayant tiré au sort depuis 1806 vont être régulièrement convoqués. Les sénatus-consulte du 9 octobre et du 20 novembre 1813 reviennent jusqu’aux classes de l’An XI. En ce qui concerne le Département de l’Ourthe, le préfet refusera de reprendre les listes d’avant 1809, considérant qu’il s’agirait d’un travail inutile.
Le conscrit appelé peut se faire remplacer par un homme, français, de moins de 35 ans, libre d’obligations militaires. Il peut s’agir d’un conscrit de la Réserve, mais si ce dernier est convoqué, le remplacé devra fournir un autre remplaçant ou partir lui-même. En langage de l’époque, on parle de suppléé (celui qui se fait remplacer) et de suppléant (celui qui remplace). Pendant deux ans, le suppléé est responsable du suppléant et si celui-ci déserte, il est tenu de partir immédiatement ou de fournir un nouveau suppléant dans les quinze jours. On peut aussi échanger son numéro avec un conscrit placé plus loin sur la liste. Il s’agit alors de la « substitution ». Celui qui échange est le « substitué », celui qui accepte de partir est le « substituant ». A mesure que se succèdent les levées, de plus en plus gourmandes en hommes, les prix vont monter. En 1798, il est possible de trouver un remplaçant pour 300 francs, et les contrats mentionnent même parfois la possibilité pour le remplacé de se faire rembourser partiellement si la guerre dure moins de six mois. A la fin de l’année 1813, la difficulté de trouver un suppléant est telle que des conscrits ont été obligés de débourser jusqu’à 6.000 francs * pour décider un de ses rares concitoyens disponibles à marcher à sa place.
* (Pour donner une idée de l’importance de cette somme, un ouvrier urbain gagnait un moyenne d’un francs par jour, un journalier dans les campagnes, 85 centimes)
Exposition à Hollogne-sur-Geer
Salon de Noël à la galerie Evasion (Waremme)
Du 6 décembre 2014 au 11 janvier 2015, la galerie « Evasion » de Waremme propose son « Salon de Noël ». Les artistes exposés sont:
- SEHER Catherine
- BEAUSILLON Bertrand
- COLLIGNON Dominique (peintures)
- DELEPINE Jérôme
- ALBRECHT Marlis
- FAVRE Sophie
- DRESSE Jean-Claude
- JIVKO
Concert au château (Waremme)
Le 29 août 2015, un concert est organisé au salon de musique du château de Longchamps, à Waremme, dans le cadre du Festival « Les Champs des Possibles ». La conception et la mise en scène sont de CERRI Sarah.
Les artistes:
- SLUCHIN Primor, harpe
- KOWALSKI Natacha, chant et textes
Rodrigo Vanwersch de Crisnée
En 2015, VANWERSCH Rodrigo constitue, à Crisnée, une société qui s’occupe de la promotion de jeunes artistes.
Salon d’été à la Galerie « Evasion » (Waremme)
En juin 1984, un Salon d’Eté clôture la 1ère saison de la Galerie « Evasion de Waremme. Une quinzaine d’artistes y sont présentés:
- DEVOLDER Roland
- DIEZ Anto
- DUPONT Jean
- BAIJOT Léopold
- BLOES Danny
- MARA Paul
- DEWAEL Géo
- FELIX Jean-Pierre
- FOUAT Michel
- GEWELT Christiane
- HARDY Maurice
- MESSELY Paul
- MULLER Fernand
- VANDENBOSSCHE Jean-Pierre
- SCHIJNEMAKERS Jos
Les exploitants de la galerie sont René COLON et Nelly REGA.
Roland Castro, lauréat du « Grand Prix Art et Culture » (Waremme)
En août 1986, le premier Grand Prix Art et Culture de la Ville de Waremme est décerné au photographe CASTRO Roland. Cette première édition était réservée à l’art graphique.
18 artistes ont participé à ce concours et ont exposé leur oeuvre au Centre Culturel et Sportif Edmond Leburton:
- BERTRAND Bernadette
- BOZET Daniel
- BRONCKAERS Paulette
- CASTRO Roland
- CLAES Charles
- DANTINNE Josiane
- HOUGARDY Martine
- HOUGARDY Michèle
- LACROIX Christian
- LEBOUTTE Alain
- LEENKNECKT DANIELLE
- MATHIEU Gérard
- ROMAINVILLE Armand
- SCEVENELS Louis
- STERKENDRIES José
- VONECHE Benoit
- WARNANT Emile
- WERY Gilles
