En 1959, l’abbé FRAIPONT Joseph de Waremme qui était parti enseigner au Rwanda, crée un village pour les enfants atteints de poliomyélite, avec des ateliers, un dispensaire, une école, des antennes extérieures, …
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Grève Générale en Belgique
En avril 1913, une grève générale est décrétée en Belgique, pour la journée de huit heures, pour l’amélioration des conditions de travail et pour le suffrage universel pur et simple.
A Waremme, la plupart des ateliers de petite mécanique, tels que les firmes «Ateliers MOES », « horlogerie GONNE », ainsi que le garage-carrosserie « LEONARD », sont bloqués par la grève.
Henri Joachim, plombier-zingueur (Waremme)
Vers 1912, JOACHIM Henri, qui exploite un commerce de plomberie-zinguerie, ferblanterie, chaudronnerie, rue de Huy à Waremme (qui deviendra la rue Joseph Wauters), à l’angle de la rue des Fontaines (vers l’Hôtel de Ville), installe ses dépôts, ateliers et autres locaux commerciaux, dans les bâtiments laissés vacants par le déménagement des Ateliers Moës à la rue de Saives (qui deviendra la rue de Huy).
De nouveaux bâtiments pour les « Ateliers Moës » (Waremme)
En 1912, devant le succès de leur moteur dans les petites entreprise (meuneries, menuiseries, …), les frères MOES Edouard, MOES Auguste et MOES Paul quittent le centre de Waremme et s’installent en périphérie. Ils font bâtir de vastes ateliers au numéro 62 de la rue de Faimes (qui deviendra plus tard la rue de Huy), juste à la sortie de la ville, dans un vaste complexe de 2 hectares et demi. Ils y installent les « Ateliers MOES » et vont y fabriquer leur fameux moteur.
John Cockerill s’installe à Seraing
Un noyau d’habitations est créé à Waremme par les Romains
Au 1er sèche, des fortins (burgi) en terre et en bois sont construits aux abords de la chaussée romaine, échelonnés à distance régulière d’environ 30 kilomètres (ce qui correspondait à une journée de marche). Des petits noyaux de type urbain s’implantent autour de ces fortins. Ils abritent des ateliers, des commerces, des bains, des temples, …. Les concubines des soldats, leurs enfants, des commerçants, des artisans, des filles de joie y résident. Les haltes routières de ce type, comme celle de Braives, sont appelées « vicus ». Des relais de moindre importance sont aménagés à mi-distance entre deux « vicus ».
Des Romains semblent donc avoir séjourné dans la région de Waremme. La présence de tumuli pourrait en attester. Les tumuli servent généralement à recevoir les cendres de quelque riche propriétaire foncier ou autre personnage en vue. Ces tombes monumentales commencent à être implantées à partir du dernier quart du 1er siècle. (Il faut néanmoins examiner la possibilité que, pour ensevelir leurs notables, les Romains utilisent des tumuli existants, érigés par les autochtones avant leur arrivée)