En 1312, le Comte DE LOOZ attaque la tour fortifiée, construite sur la Motte de Les Waleffes, et libère deux prisonniers qui y étaient incarcérés pour homicide.
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La Tour de Les Waleffes attaquée
En 1255, les Hutois attaquent la Tour fortifiée construite sur la Motte de Les Waleffes, pour libérer l’un des leurs qui y est incarcéré.
L’Yerne, ligne de défense (Liège – Waremme)
En 1328, l’Yerne sert de ligne de défense au Prince-Evêque de Liège, DE LA MARCK Adolphe, qui s’en va attaquer Waremme.
Ambiorix attaque César (Momalle)
En (?), les Eburons d’AMBIORIX attaquent les légions romaines de CESAR, au « Fond Neva », à l’endroit où s’élèvera plus tard le village de Momalle (?)
Un véhicule de l’ALE mitraillé (Jeneffe)
Le 10 août 1944, un chasseur-bombardier anglais Republic P-47-N Thunderbolt attaque un véhicule de l’Association Liégeoise d’Electricité (ALE), qui circule sur la Chaussée Verte, à Jeneffe.
La « Madelon » de Lamine
En juin 1944, une dame surnommée « La Madelon » habite Lamine. Sa maison va servir de base aux Résistants qui vont tendre un guet-apens à un convoi allemand. Cette attaque sera le détonateur d’une des plus sanglantes batailles entre l’armée allemande et la Résistance hesbignonne.
Joseph Kinet, dans la tourmente (Lantremange – Belgique)
Le 14 mai 1940, KINET Joseph, natif de Lantremange, effectue une mission de reconnaissance aérienne et une attaque sur le canal de Bréda, aux Pays-Bas.
Le châtelain de Waremme attaque Berloz
En 1313, le châtelain de Waremme attaque Berloz. Ce fait d’arme sera relaté par DE HEMRICOURT Jacques:
« Quant ly bon castelain de Waremme fut teilement desconfis que deviseit est, ilh en out gran vergongne, car il havoit este itmultfortuneis d’armes. Se priat aile plus coviertement qu’il pout les enfans de Mouhiens. ses cuzins, et de ses atres amis, après les quarantaines expiréez, et chevachat à Bierlouz, qui estoit bin et fortement lichie et fossie; et y avoit des vailhans gens, tant en la vilhe com en la fortrece, gui vinrent az liches, et totl y sorseans do liu avoekeaz. Là fut bin et vassallement skermuchiet, trait, lanchiet, assailhit et defendut. Finalement, ly vilhe fut wangie et les liches copéez; et retrahi rentchilh de warnizons, tant del vilhe com delle fortrece, arier, tot combatan, juxesaz liches delle fortrece. Mais, anchois qu’il y powissent venir, ilh perdirent planteit de leur sorseans, avoek lesquels furent mors, de leure partie, ly dois enfans de Riwecheaz, en la conteit de Namur, qui estoi ent beaz et bons escuwirs do linages de Warfezéez; et y furent mors Vosse et Fagée de Berlouz, et al consatres d’oneur et de nom.«
Nouvel accrochage et découverte de corps (Freloux – Streel – Allemagne)
Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro », LINCHET Henri, dit « Alexandre », envoie trois de ses hommes à Freloux, pour récupérer une voiture en panne:
- BOEKER Antoine, dit « Constant », qui effectue la réparation
- MASSART Albert, dit « Max », qui fait le guet
- LITTLE Henry, dit « Jim », qui fait le guet
Ils sont attaqués par un véhicule blindé allemand. Ils prennent la fuite en direction de Streel et rejoignent leurs camarades, poursuivis par les Allemands. LINCHET Henri, dit « Alexandre », couvre leur retraite. Il est abattu par une rafale d’arme automatique. RORIVE Jean est fait prisonnier (il sera emmené à Fologne et exécuté), MASSART Albert est blessé (il sera achevé à Otrange). BOEKER Antoine et DETHIER Edmond parviennent à s’enfuir en direction de Fexhe-le-Haut-Clocher.
Les Allemands découvrent les neuf corps de leurs camarades exécutés, dans la ferme de Streel. Ils l’incendient.