Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)

Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:

  • BOEKER Antoine, dit « Constant »
  • MASSART Albert, dit « Max »
  • PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
  • LITTLE Henry, dit « Jim »
  • RORIVE Jean, dit « Grincheux »
  • DETHIER Edmond
  • FRANKINET Laurent
  • YOUNGBLOOD Jérôme

Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.

Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.

Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.

Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.

Le Pont de Pousset attaqué

Le 10 juin 1944, une section de Résistants du groupe « Zoro », conduite par LINCHET Henri, dit « Alexandre », attaque le pont de Pousset, sur la ligne de chemin de fer, entre Remicourt et Bleret. Malgré les gardes allemands, ils font sauter la voie à la dynamite.

Bataille de chars (Oreye)

Le 11 mai 1940, l’avant-garde des régiments de « Panzers » allemands est violemment attaquée, à Oreye, par un détachement du 12ème Régiment Cuirassé de l’armée française. Quatre chars sont détruits.

Le terrain d’aviation de Jeneffe est attaqué

Le 10 mai 1940, vers 14h30, cinq « Heinkel » allemands attaquent les avions belges qui se trouvent sur le terrain d’aviation de Jeneffe: neuf « Fox-Hispano » de l’escadrille de reconnaissance de Gossoncourt. Moins d’une demi-heure plus tard, onze Messerschmitt Me-109 allemands mitraillent les avions belges. Sept d’entre-eux flambent. Les deux autres sont inutilisables.

Les Allemands quittent l’Ecole Moyenne (Waremme)

Le 7 septembre 1944, les Allemands de l’unité de Waffen SS quittent l’Ecole Moyenne de Waremme, où ils s’étaient installés. Ils sont attaqués, au niveau de la « Plate-Tombe », par une escouade de Résistants, commandée par NELIS Gaston, dit « Joseph ».

Les machines de guerre d’Archimède

archimède

archimède

En – 213, les machines de guerres conçues par ARCHIMEDE mettent MARCELLUS en déroute, lors de sa première attaque contre Syracuse.

Le poste hollandais d’Oreye est attaqué

Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1830, le poste, installé dans la campagne d’Oreye par des Hollandais venus de Maastricht pour couper les voies de communications et empêcher que des renforts liégeois arrivent à Bruxelles, composé d’infanterie d’infanterie et de cavalerie est attaqué par surprise par un détachement de révolutionnaires liégeois, notamment une douzaine de cuirassiers commandés par le Major MATHOT et par LUCAS Alexandre-Joseph et un détachement est commandé par CHARLIER, dit « Jambe de Bois », ancien artilleur de NAPOLEON. Un détachement, commandé par WASSEIGE Jean-Joseph, de 1.000 hommes a quitté Liège avec 2 pièces d’artillerie, par le Faubourg Sainte-Marguerite, avant de rejoindre une autre colonne, composée en partie de membres de la garde communale. 

L’engagement a lieu au lieu-dit « Chevenotte », à l’entrée du village de Thys. Une fusillade nourrie éclate. Le capitaine des cuirassiers, WELLE D. se distingue par son intrépidité.Du côté révolutionnaire, le nommé » BATAILLE est frappé à mort. 3 ou 4 autres sont blessés, dont le notaire de Liège, WASSEIGE J. B., atteint d’un coup de feu dans la poitrine, après avoir désarmé une sentinelle hollandaise. Du côté hollandais, les pertes sont plus considérables. Ils sont mis en déroute. Ils abandonnent le village et se retirent précipitamment vers Saint-Trond, en abandonnant des armes, des munitions, des vêtements et plusieurs chevaux. plusieurs d’entre-eux sont faits prisonniers.

Dans un mouvement de panique, Monsieur COCHOUL, l’instituteur de Momalle, tombe dans le Geer. Il refroidira et perdra la vie peu après.

Une partie des volontaires liégeois rentre à Liège vers 8 heures du matin. D’autres, avec CHARLIER, dit « Jambe de Bois » installé sur l’affut d’un canon, poursuivent vers la Capitale, pour porter secours aux Bruxellois, rassemblés dans le Parc de Bruxelles; contribuer ainsi à la libération de la Belgique du joug hollandais et conquérir l’indépendance.

 

Peines dans le Procès « Habran bis » (Waremme)

Le 30 septembre 2010, HABRAN Marcel est à nouveau condamné à 15 ans de réclusion pour l’attaque du fourgon de la « Brink’s », en janvier 1998, à Waremme, et pour être le dirigeant d’une organisation criminelle et d’association de malfaiteurs.

Marcel Habran est à nouveau reconnu coupable

Le 28 septembre 2010, HABRAN Marcel est à nouveau reconnu coupable de l’attaque du fourgon de la « Brink’s », en janvier 1998 à Waremme, par le jury du second procès d’assises qui se tient à Nivelles.