Le 26 octobre 1943, de nuit, quatre personnes attaquent le Bureau du Télégraphe de Waremme. Révolver au poing, elles intiment l’odre à l’employé d’ouvrir le coffre-fort, mais celui-ci n’a pas la clé. Les assaillants doivent se contenter de l’encaisse du bureau, environ 400 francs.
Archives par mot-clé : attaque
Des Maquisards attaquent la Laiterie de Hesbaye (Waremme)
Le 26 août 1943, des maquisards attaquent la « Laiterie de Hesbaye », installée à Waremme depuis 1942 au n° 34 de la rue Emile Hallet, dans les bâtiments de l’ancienne brasserie « JEGHERS ». Ils subtilisent argent et documents.
Hold-up à la Banque Borsu (Waremme)
Le 6 août 1943, la Banque « BORSU » de Waremme est attaquée. Sous la menace de leurs armes, les sept « braqueurs » dérobent 147.000 francs. Ils seront arrêtés : ce sont des maquisards de la région hutoise.
Jean de Sélys-Longchamps attaque l’immeuble de la GESTAPO (Waremme – Bruxelles)
Des blessés à la Clinique Joseph Wauters (Waremme)
Le 11 mai 1940, un train qui a été attaqué par la Luftwaffe arrive à la gare de Waremme. Les blessés sont amenés à la clinique Joseph Wauters. Mais il n’y a plus de médecin. Pour sauver la vie de certains d’entre eux, SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne », procède elle-même à des amputations.
Le Capitaine Van Espen s’illustre au combat (Waremme)
La Guerre « russo-japonaise »
Le 8 février 1904, l’attaque surprise des Japonais contre la flotte russe à Port-Arthur marque le début de la « Guerre russo-japonaise ».
Garibaldi s’attaque au Vatican (Italie)
L’esprit révolutionnaire souffle sur Waremme
En 1790, La Révolution Française a suscité, dans la région de Waremme, un mouvement de révolte contre l’ordre établi par les puissants et un désir de changement. Des pauvres attaquent les fermes, brisant portes et fenêtres et forçant les fermiers à leur livrer des vivres et de l’argent.
La bataille de Neerwinden
Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.
Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).
Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.


