Le 6 août 1943, la Banque « BORSU » de Waremme est attaquée. Sous la menace de leurs armes, les sept « braqueurs » dérobent 147.000 francs. Ils seront arrêtés : ce sont des maquisards de la région hutoise.
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Jean de Sélys-Longchamps attaque l’immeuble de la GESTAPO (Waremme – Bruxelles)
Des blessés à la Clinique Joseph Wauters (Waremme)
Le 11 mai 1940, un train qui a été attaqué par la Luftwaffe arrive à la gare de Waremme. Les blessés sont amenés à la clinique Joseph Wauters. Mais il n’y a plus de médecin. Pour sauver la vie de certains d’entre eux, SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne », procède elle-même à des amputations.
Le Capitaine Van Espen s’illustre au combat (Waremme)
La Guerre « russo-japonaise »
Le 8 février 1904, l’attaque surprise des Japonais contre la flotte russe à Port-Arthur marque le début de la « Guerre russo-japonaise ».
Garibaldi s’attaque au Vatican (Italie)
L’esprit révolutionnaire souffle sur Waremme
En 1790, La Révolution Française a suscité, dans la région de Waremme, un mouvement de révolte contre l’ordre établi par les puissants et un désir de changement. Des pauvres attaquent les fermes, brisant portes et fenêtres et forçant les fermiers à leur livrer des vivres et de l’argent.
La bataille de Neerwinden
Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.
Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).
Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.
Les Waroux attaquent Waremme
Le lendemain de la Pentecôte 1313, le 7 juin, une bataille se déroule au pied des remparts de Waremme, devant la porte de Liège. Les Waroux, menés par DE HERMALLE Henri, attaquent la ville. Ils sont reçus par une grêle de traits lancés des remparts de la ville. Après avoir repoussé quelques assauts vigoureux, DE JENEFFE Guillaume, le châtelain de Waremme, un des chefs du clan des Awans, doit battre en retraite dans son donjon, laissant sur le terrain plusieurs compagnons morts, notamment, le châtelain de Montenaken, DE LIMONT Simont, le batard de Wezemael, DE MONS Huwar, DE LOBOS Jean, messire BOTIER D’AAZ Jean. Les Waroux en profitent pour piller la ville.
Au cours de cette bataille, plus de 800 chevaux, montés par des chevaliers ou de écuyers, ainsi que de nombreux paysans et serfs (la piétaille), s’affrontent.
La bataille de Soissons
En 486, CLOVIS a 20 ans. Il s’allie à RAGNACAIRE afin d’attaquer le « Roi des Romains » SYAGRIUS. L’affrontement a lieu à Soissons. Les troupes romaines sont constituées de soldats-paysans qui, pour la plupart, vivent avec leur famille entre la Somme et la Loire.
Les 6.000 Francs ne font qu’une bouchée de l’armée romaine. SYAGRIUS s’enfuit et va demander asile au Roi des Wisigoths, ALARIC. Clovis est victorieux, mais les Romains n’acceptent pas sa tutelle. Ils ne se rendront définitivement qu’après dix ans de combats et de négociations.