A l’issue des élections communales d’octobre 2018, le Conseil Communal de Waremme passe de 23 à 25 membres, en raison de l’augmentation de la population, qui dépasse maintenant les 15.000 habitants.
En 1923, la roue à palettes du moulin DESART d’Oreye est remplacée par une turbine, qui augmente fortement la force motrice du moulin.
En 1898, un 2ème emploi d’instituteur est créé à Hodeige (en raison de l’augmentation de population).
Vers 1900, on construit des caniveaux et on modernise la machinerie de la Sucrerie de Remicourt, ce qui augmente le rendement de l’entreprise.
En 1937, le capital de la S.A. « Sucrerie NAVEAU » est porté à 4.000.000 de francs.
Entre 1855 et 1880, le nombre d’embarquements en gare de Waremme est en augmentation: il passe d’une moyenne de 30.000 à près de 70.000.
Après 1900, l’exploitation de gisements de phosphate, dans la région de Momalle, permet une augmentation des revenus de la classe ouvrière locale.
Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:
Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:
En 1953, le prix de l’eau est augmenté à Waremme, pour adapter le rendement aux charges financières de la distribution.
En 1953, en raison de l’augmentation de la quantité de sucre fabriquée, la Raffinerie Tirlemontoise construit des bâtiments plus vastes à la gare de Waremme, de l’autre côté de la ligne vicinale vers Oreye.