Ouverture d’Auto Center Alain (Waremme)

Vers 1984 (?), LEGROS Alain crée l’entreprise dédiée à l’automobile « Auto Center Alain », à Waremme.

Edmond Joyeux, photographe (Waremme)

En mars 1969, le photographe et reporter waremmien, JOYEUX Edmond, prend le cliché qui servira à réaliser l’affiche annonçant les Six Heures Automobile de Waremme.

Les Six Heures de Waremme

Les 22 et 23 mars 1969, les Six Heures Automobile de Waremme sont organisées, par le Waremme Motor Club, dans la capitale de la Hesbaye. Il s’agit du 4ème grand rallye d’initiation. Il est remporté par les Waremmiens THONON Joseph et son épouse Noëlla, sur une Ford Escort.

Mort de Rodolphe Melen (Villers-le-Bouillet)

En 2015, MELEN Rodolphe décède à (?). Il a été constructeur automobile. Il sera inhumé au cimetière de Villers-le-Bouillet, situé rue de la Sablière.

Jean-Louis Dumont, le plus rapide (Waremme – Condroz)

En 1980, le pilote automobile waremmien, DUMONT Jean-Louis remporte de Rallye du Condroz.

Claude Trooster, vice-champion (Berloz)

En 1990, le Berlozien, TROOSTER Claude, et son équipier DOMBRET François sont vice-champion provincial des circuits.

Le garage de Jean Lefèvre (Waremme)

En 1954, le garage LEFEVRE Jean à Waremme vend des automobiles de marque Chrysler, Plymouth et Fargo.

Les Transports Moermans (Waremme)

En 1941, La Maison de transports MOERMANS A. est installée au n° 47 de la rue Hubert Krains à Waremme. Pour ses transports, elle utilise une charrette hippomobile. A cette époque, utiliser une automobile ou un camion relève de la gageure. Sauf de très rares autorisations, l’essence est introuvable. Il faut rouler au « gazogène », système compliqué et encombrant, fonctionnant au bois, charbon de bois ou charbon.

Fin 1914, la Croix Rouge s’organise à Waremme

Fin 1914, le Collège Saint-Louis ouvre ses portes à la Croix-Rouge qui y installe une antenne médicale. De nombreuses Waremmiennes se mettent à son service.

La Baronne DE SELYS-LONGCHAMPS prête son auto à la Croix-Rouge pour faire office d’ambulance. Elle fournit les légumes nécessaires à assurer la subsistance de blessés. Elle offre également d’accueillir chez elle les blessés qui ne pourraient l’être à l’antenne médicale.