En 1891, le conseil communal de Hodeige autorise l’Institut Archéologique de Liège à effectuer des fouilles sur le site du Tumulus du Village.
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L’église de Remicourt sera reconstruite
Le 13 juin 1909, un arrêté-royal autorise la construction d’une nouvelle église à Remicourt. Les plans en seront dressés par l’architecte CORTHOUTS. Les vitraux seront réalisés par le peintre-verrier BURY.
Il y aura une sucrerie à Les Waleffes
Le 8 mars 1858, le conseil communal de Les Waleffes accorde à CARTUYVELS-HANSON Eugène, de Lens-Saint-Remi, l’autorisation d’ouvrir une sucrerie dans le village.
La chapelle de l’Ermitage sera-t-elle détruite (Momalle – Liège)
En 1787, l’abbé du Val-Saint-Lambert demande et obtient du Prince-Evêque de Liège, l’autorisation de démolir la chapelle et l’ermitage de Momalle. Mais ils ne seront pas détruits.
Les sections d’études de la Fédération Catholique de Huy-Waremme
Le 9 avril 1932, les sections d’études de la Fédération Catholique de Huy-Waremme se réunissent:
- dans les locaux du Collège Saint-Louis de Waremme, mis à disposition par le directeur, l’abbé MALMENDIER
- dans les locaux des Oeuvres Paroissiales de Waremme, avec l’autorisation du Doyen de Waremme.
De nouveaux pipelines à Waremme
Le 16 août 1872, le Conseil Communal de Waremme autorise la Société d’Agriculture Industrielle à placer des tuyaux conducteurs de jus de betteraves (pipeline), le long des chemins communaux de Waremme:
- depuis le carrefour Saint-Eloy jusqu’à la limite de Grand-Axhe (le long de l’ancienne Chaussée Romaine);
- depuis la « Plate-Tombe » jusqu’à l’usine centrale;
- depuis la chapelle « FLEUSSU » jusqu’à la Route de Huy.
La sucrerie de Jean-Baptiste Polet (Omal – Liège)
Le 11 janvier 1871, la députation permanente du Conseil Provincial de Liège autorise la société « Jean-Baptiste POLET et Cie » à installer une sucrerie à Omal, pour une durée de 30 ans.
POLET Jean-Baptiste est bourgmestre du village. Il y est également fermier-propriétaire.
Des pipelines pour les sucreries (Waremme)
En janvier 1871, en réunion du Conseil Communal de Waremme, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond estime que le Conseil n’est pas compétent pour autoriser l’établissement de poteaux télégraphiques, dont le réseau embrasserait une étendue de plusieurs lieues sur le territoire de diverses communes.
Le Conseil se déclare effectivement incompétent, mais il autorise la pose de tuyaux en fonte (pipelines), par les sucreries de la ville.
Un abri en bordure de la rue Gustave Renier (Waremme)
En 1944, le Baron DE LAFONTAINE autorise les riverains de la rue Gustave Renier à creuser un abri dans sa propriété. Tous les hommes valides de la rue consacrent leur temps libre à aménager une tranchée d’une cinquantaine de mètres. Il y a une entrée à chaque extrémité et une autre au centre.
Des médecins motorisés (Waremme – Allemagne)
En 1941, les médecins de Waremme sont autorisés à circuler en voiture ou à moto. Ils peuvent conserver leur véhicule et ne pas le céder aux Allemands.