Charles Quint autorise l’esclavage (Espagne)

charles quint

charles quint

En 1518, le Roi d’Espagne, CHARLES QUINT, autorise la traite des esclaves par Asiento (accord royal).

Daniel François et Alain Michelet au Tribunal (Waremme – Liège)

Le 15 novembre 2013, la 8ème chambre du Tribunal Correctionnel de Liège examine le dossier à charge de FRANCOIS Daniel, chef de corps de la zone de police de Hesbaye, et de son adjoint, le commissaire MICHELET Alain, poursuivis pour faux en écritures, harcèlement, traitement dégradant et pour avoir involontairement causé la mort de KOCH Sandra. KOCH Sandra, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours un an plus tard. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs.

L’audience est très suivie, la salle est comble et les journalistes sont en nombre. Les trois magistrats sont des femmes. L’instruction d’audience est menée par le juge DECOQ Isabelle. Le commissaire MICHELET cache son visage devant les caméras et l’avocat de FRANCOIS Daniel demande que celui de son client soit « flouté » dans les médias. Une dizaine de témoins ont été convoqués par le Ministère Public, mais tout le dossier ne sera pas abordé lors de cette première audience. Parmi les témoins convoqués, COEME Guy, ancien bourgmestre de Waremme et ancien président de la zone de police de Hesbaye, et GOFFIN Philippe, bourgmestre de Crisnée, où KOCH Sandra a travaillé, quelques jours avant le drame. Le mari de KOCH Sandra se constitue partie civile en son nom personnel et au nom de son fils. FRANCOIS Daniel est toujours en incapacité de travail.

Le Tribunal examine la procédure d’évaluation de KOCH Sandra, qui s’est soldée par une note négative. Cette procédure a-t-elle été respectée ? Le Tribunal constate qu’il n’y a pas eu d’objectifs fixés et qu’il n’y a pas eu d’entretien préalable avec KOCH Sandra. Son évaluateur, MICHELET Alain, lui a reproché de trop verbaliser et de le faire à mauvais escient. L’avocat de la défense précise qu’elle a, notamment, dressé 34 « PV » en 24 jours de travail. MICHELET Alain précise qu’il n’était pas possible de « discuter » avec KOCH Sandra.

Le responsable des agents de quartier a signalé des retards dans le travail de KOCH Sandra. En fait, elle a été en arrêt maladie durant 5 mois, à la suite d’une rupture des ligaments qui a nécessité de la plâtrer. MICHELET Alain déclare que c’est un peu dommage de prendre autant de temps pour une entorse. FRANCOIS Daniel ajoute que, pendant cette période d’arrêt de maladie, elle s’est rendue en vacances sur la Côte d’Azur. La Présidente du Tribunal remarque qu’elle avait l’autorisation des médecins de sortir de son domicile et de partir en vacances. FRANCOIS Daniel a enquêté pour savoir si la caravane de KOCH Sandra a été louée avant ou après son accident de travail. MICHELET Alain déclare que la voir se promener en ville avec ses enfants, pendant que les autres travaillent, a entraîné une tension énorme. FRANCOIS Daniel et COEME Guy ont parlé du « Cas Sandra Koch » à la buvette du stade de football et COEME Guy aurait déclaré qu’il ne voulait plus voir KOCH Sandra à Waremme.

Le 17 octobre 2011, MICHELET Alain remet à KOCH Sandra un document qui conclut à une évaluation négative, motivée par une problématique d’ambulance ! Pour mémoire, KOCH Sandra avait reçu une évaluation positive en 2010, établie par un autre évaluateur. FRANCOIS Daniel déclare que KOCH Sandra méritait cette évaluation négative, mais « qu’on » voulait lui donner une seconde chance. C’est pour cela qu’il l’a mutée à Crisnée et que le Collège de Police a entériné sa décision. Il a exposé aux deux bourgmestres les raisons qui ont motivé MICHELET Alain à conclure la procédure par une évaluation négative.

La veille du drame, KOCH Sandra a appris qu’elle devrait effectuer 3 prestations de garde, sur les 4 des fêtes de fin d’année, ce qui l’a dépitée. FRANCOIS Daniel précise qu’il manquait de personnel à ces dates, mais que personnellement, il n’ l’avait désignée que pour une de ces prestations et qu’il n’était pas au courant pour les deux autres.

La première journée d’audience se termine. Les autres témoins seront entendus le 7 février 2014. La prochaine séance est fixée à vendredi prochain.

Le prisonnier Edgard Fraipont (Waremme – Allemagne)

Le 7 juillet 1940, le Waremmien FRAIPONT Edgard est prisonnier en Allemagne. Il est autorisé par les Allemands à envoyer une carte postale à sa famille pour la rassurer sur son sort.

Waremme maintient le droit de péage sur la Chaussée Romaine

En mai 1857, la Députation Permanente de Liège autorise la commune de Waremme à prolonger, pour un terme de 10 ans, le droit de péage qu’elle perçoit sur la Chaussée Romaine, empierrée sur une longueur de 32.000 mètres.

L’accès à la gare de Waremme sera amélioré

Le 17 mai 1839, le Ministre des Travaux Publics autorise les travaux d’amélioration de la voirie menant à la station de Chemin de Fer de Waremme.

Waremme récupères ses armoiries

blason de waremme

blason de waremme

Le 10 juillet 1863, le Roi LEOPOLD 1er autorise la commune de Waremme à récupérer ses armoiries.

Texte de ce courrier :

« LEOPOLD, Roi des Belges, à tous présent et à venir, salut.

Notre Ministre de l’Intérieur, nous ayant exposé dans son rapport du 4 juillet 1863 que, par délibération en date du 3 octobre 1861 le Conseil Communal de Waremme, province de Liège, a émis le vœu d’obtenir la vérification et la maintenue des Armoiries octroyées anciennement dans cette commune. Considérant qu’il est établi par des documents dignes de foi, produits à l’appui de cette demande que la commune de Waremme est en possession d’armoiries particulières dont les titres de concession sont égarés ou détruits. De notre arrêté en date du 6 février 1837 réglant la forme des sceaux des communes nous avons accordé et accordons à la commune de Waremme les présentes Armoiries dont elle a usé jusqu’à ce jour, telles qu’elles sont figurées et coloriées au milieu d’icelles. Chargeons notre Ministre de l’Intérieur de l’exécution des présentes qui seront insérées au Moniteur.

Le Ministre de l’Intérieur A. VANDENPEEREBOM Donné à Bruxelles, le 10 juillet 1863 LEOPOLD »

Un diplôme royal, qui décrit minutieusement le blason, est remis aux autorités communales.

roi léopold 1er

roi léopold 1er

La Chapelle Saint-Sauveur ou Chapelle « Fleussu » (Waremme)

Cette Chapelle est construite par FLEUSSU Jean-François-Xavier, docteur en médecine, adjoint-maire de Waremme depuis 1818. Deux histoires racontent les motifs de la construction de cette chapelle.

Selon la première, se promenant un jour à cet endroit, à l’époque où il faisait ses études, il aperçut une croix que quelque habitant pieux y avait plantée et se dit dans le patois du pays: « Si je réussis mes examens, je te mettrai sous toit ».

Selon la seconde, le docteur FLEUSSU Jean-François-Xavier estime de son devoir d’également dispenser des soins à des bandits qui terrorisent la région et dont un des repères est situé au Bois des Tombes. En échange, il reçoit les mots de passe conventionnels, grâce auxquels il peut se faire connaître et parcourir toutes les routes de la Hesbaye, avec son fidèle cheval blanc, de jour et de nuit, et ainsi visiter ses malades des campagnes. Au cours d’une de ces tournées, revenant d’avoir prodigué des soins à une patiente de Bovenistier, un orage le surprend aux environs de Waremme. Les éléments se déchaînent avec une violence inouie, telle que le docteur croit sa fin prochaine certaine. A cet instant, il formule le vœu de faire ériger une chapelle en ce lieu, s’il échappe à la mort. Il s’acquittera de cette promesse.

La chapelle qu’il fait édifier, à l’endroit où le Chemin de Bovenistier débouche dans Waremme, est dédiée à Saint-Sauveur et à Saint-Donat (souvent invoqué contre la foudre dans notre région). Afin d’assurer l’entretien du monument, le docteur FLEUSSU Jean-François-Xavier fait don de plusieurs verges de terres à la Fabrique d’Eglise de Waremme, dont le revenu servira à cet effet.

Après son décès, la famille est autorisée à l’inhumer dans cette chapelle. On y voit sa pierre sépulcrale qui porte l’inscription suivante : Ici repose Xavier Fleussu, docteur à Waremme, décédé le 22 septembre 1867. R.I.P.

La bombe à neutrons (Etats-Unis)

jimmy carter

jimmy carter

Le 18 octobre 1978, le président américain, CARTER Jimmy, autorise la fabrication de la bombe à neutrons.

Joseph Fraipont voudrait ouvrir un Centre pour handicapés (Waremme – Rwanda)

En 1958, l’abbé FRAIPONT Joseph demande l’autorisation de fonder un Centre pour handicapés à Gatara, au Rwanda.

L’Athénée Royal aura de nouveaux bâtiments (Waremme)

En septembre 1947, le département des travaux publics autorise l’achat de la propriété « CHANTEUX » pour y construire le nouvel Athénée Royal de Waremme. Il sera édifié à l’angle de la rue Gustave Renier et de l’avenue Guillaume Joachim.