En janvier 2018, les autorités communales de Waremme annoncent que la « Hall des Voiries », dont le bâtiment tombe en ruine, déménagera bientôt dans les anciens locaux de « La Carotte de Hesbaye ».
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L’éclairage de la ville (Waremme)
En 1957, les autorités communales de Waremme étudient le projet de moderniser l’éclairage de la ville par l’installation de tubes fluorescents.
Parcs et jardins fermés (Waremme)
Le 23 février 2017, suite à un avis de tempête, les parcs et jardins de Waremme, ainsi que la drève de Longchamps, sont fermés. Les autorités communales veulent éviter tout risque lié à la chute d’arbres.
Des logements sociaux à Waremme
En 1949, LEBURTON Edmond crée la société de logements sociaux « Le Home Waremmien », à Waremme.
Le but des autorités communales est de promouvoir l’expansion de la ville et de lui amener la prospérité. Pour le réaliser, elles estiment qu’il faut que la population soit en augmentation constante. A leurs yeux, une politique systématique de construction d’habitations peut seule provoquer une progression du nombre d’habitants.
Remise des prix à l’école « Pergay » (Waremme)
Le 19 août 1844, la distribution des prix est organisée à l’école de demoiselles des soeurs PERGAY Sophronie er PERGAY Valériane, à Waremme. Toutes les autorités communales sont présentes. Il y a de la musique et des récits.
Un pavillon pour pensionnés (Waremme)
Le 27 février 1964, les autorités de Waremme inaugurent un pavillon pour pensionnés, dans un local mobile installé à la rue du Casino.
Inauguration de la rue Champanette (Waremme)
Le 8 décembre 1951, les autorités communales de Waremme inaugurent la rue Champanette, complètement rénovée.
La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)
Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.
La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.
Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.
La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.
Il faut aider Liège (Waremme)
Le 24 septembre 1914, préoccupé par la situation alimentaire de Liège, le commissaire d’arrondissement de Waremme, HALLET Emile, organise une réunion à l’Hôtel de Ville de Waremme, réunissant les fermiers et les autorités communales. L’objectif est d’évaluer les réserves en céréales et en pommes de terre nécessaires aux besoins de l’arrondissement de Waremme et d’expédier les surplus à Liège.
La fresque de Patrick Haugen (Waremme)
En décembre 1988, une fresque de 20,4 m sur 4,4 m, peinte par le jeune HAUGEN Patrick (23 ans) sur le mur de la salle d’arts martiaux du complexe sportif de Waremme, est inaugurée par les autorités communales.