Le 21 novembre 1809, GONDA Jacques, de Fexhe-le-Haut-Clocher, fusilier au 18ème régiment de ligne, perd la vie à Vienne, en Autriche.
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Les armoiries de Guillaume-Joseph de Corswarem
Le 22 décembre 1778, l’Impératrice d’Autriche MARIE-THERESE octroie à DE CORSWAREM Guillaume-Joseph l’insigne honneur d’ajouter le bonnet ducal à ses armoiries et de les décorer du manteau d’hermine.
(Fort de ce privilège exceptionnel, il sollicitera le titre de Prince, mais ne l’obtiendra pas).
L’élection du Prince-Evêque (Liège)
En 1763, l’Impératrice d’Autriche MARIE-THERESE charge DE CORSWAREM Charles-Alexandre de préparer et de favoriser l’élection du Prince DE SAXE Clément au siège de Prince-Evêque de Liège.
La Vénétie française
Le 5 juillet 1866, l’Autriche cède la Vénétie à NAPOLEON III et demande l’Armistice.
Défaite autrichienne (Bohème)
Le 2 juillet 1866, les Autrichiens sont battus à Gitschin, en Bohème.
Godefroid Fabry, député (Hodeige – Autriche – Bavière)
En (?) (vers 1570 ?), le Père Franciscain FABRY Godefroid, natif de Hodeige, est envoyé (député) par le Ministre Général (des Franciscains ?) auprès du Prince FERDINAND, Archiduc d’Autriche. Il sera ensuite appelé par le Duc de Bavière GUILLAUME pour enseigner la théologie à l’Université d’Ingolstadt (1581 ?).
Par ses travaux, son zèle et ses vertus, il est l’honneur de l’Eglise et de la république des lettres, ainsi que l’ornement de l’Ordre de Saint-François et de sa Patrie. Il sait manier avec une égale aisance le Latin, le Français, le Flamand et s’en sert dans ses prédictions.
Naissance de Florent Stassart (Crisnée – Allemagne – Autriche)
Le 22 septembre 1917, STASSART Florent voit le jour à Crisnée. Ses parents sont STASSART Henri et SCHOEFS Marie-Jeanne. Il combattra durant la Deuxième Guerre Mondiale. Il sera prisonnier en Allemagne, puis au Stalag XVII B à Krams, en Autriche. Il sera ensuite envoyé en camp disciplinaire.
Gaspard Leva écrit à son ami Jonquer (Bettincourt – Pologne)
Le 7 décembre 1806, LEVA Gaspard, cultivateur à Bettincourt, soldat dans la 1ère Compagnie du 1er Bataillon Principal Train d’Artillerie du 3ème Corps de la Grande Armée de Pologne, écrit de Varsovie à son ami JONQUER:
» A monsieur Jonquer
Mon très cher ami,
La présente est pour m’informer de l’état de votre santé; à l’égard de la mienne elle est très bonne, Dieu merci. Je souhaite que la présente vous trouve de même. Mon très cher ami voilà la troisième que j’ai l’honneur de vous écrire sans avoir de vos nouvelles. C’est ce qui me fait beaucoup de peine, je ne sais à quoi attribuer cela. Je ne sais pas si c’est que les lettres ne vous parviennent pas, je ne pas encore reçu de vos nouvelles depuis que je suis parti de Compiègne, et je suis parti pour aller chercher des chevaux de remonte dans nos endroits et étant à Marche-en-Famenne, j’ai demandé la permission pour aller faire un tour au pays de mes chefs, et ils n’ont pas voulu me la donner vu qu’il y avait trop loin et qu’il fallait partir de suite. Quand je vis cela, je vous ai écrit de Marche dont je n’ai pas reçu de réponse, et nous sommes partis tranquilles comme Baptiste rejoindre l’armée.
Mon cher ami je vous dirai que voilà bien du chemin que nous faisons depuis ces temps-là. Nous avons commencé par les Autrichiens et nous avons passé à Vienne ville Capitale de l’Autriche sans beaucoup de peine, mais nous avons eu une bataille a cinquante lieues de Vienne qui est la bataille d’Austerlitz qui était une bataille sanglante et nous sommes revenus au cantonnement dans la Bavière pendant six mois, et nous étions très bien, et nous ne pensions pas avoir la guerre avec les Prussiens, mais l’on nous a trompé, et nous sommes partis de la Bavière le 26 de septembre pour nous battre avec les Prussiens, et nous ne les avons pas rencontrés que le 14 octobre que nous avons eu une bataille assez sanglante (le 14 octobre 1806, ont eu lieu simultanément la bataille d’Iéna et la bataille d’Auerstedt), mais notre compagnie a eu du bonheur nous n’avons perdu personne, Dieu merci, mais notre Corps d’Armée a très souffert nous avons des régiments qui ont perdu considérablement de morts et après, nous avons marché sur la ville Capitale de la Prusse qui est Berlin, et nous y sommes entrés sans tirer un coup de fusil, et nous sommes actuellement à la ville Capitale de la Pologne dont il y a une très grand rivière (la Vistule) et le Prussien et le Russien n’avait eu que le temps de couper le pont, et il gardait le côté du pont, et nous gardions l’autre, mais nous les avons fait évacuer et nous attendons que le pont soit raccommodé pour passer et nous avons deux Corps d’Armée qui les ont pris par derrière et ils sont bloqués à l’environ de cinquante mille tant Russes que Prussiens et les Prussiens se rendent tous les jours. Voilà cher ami ce que je peux vous apprendre pour le présent de la guerre.
Je vous prie d’assurer bien de mes respects à monsieur MATTELAUT Henri ainsi qu’à sa femme et ses enfants, mon très cher MATTELAUT Henri je vous prie de me faire part de l’adresse de mes deux frères LEVA Gilles-Joseph et LEVA Robert, si vous les savez parce que l’on m’a dit que l’île de Saint-Domingue était rendue. Je vous prie de me faire passer un certificat de currele (?) et je vous prie de faire réponse de suite. Je vous prie de faire mes compliments à BOCQ Biéthé (?) et que je le salue en écrivant la lettre le verre à la main, bien des compliments à ma belle-soeur, à Marie, ainsi qu’à mon neveu LEVA (?) Lambert, ainsi qu’à tous les amis de la boutique MATHELOT Henri. Et si je vous prie de me donner des nouvelles du pays, si les jeunes gens partent. Je vous dirai que j’ai vu la femme de LELARGE Arnold et je n’ai pas vu son homme; il est dans la 5ème Compagnie du 3ème Bataillon Bis.
Le finis en vous embrassant de tout mon cœur et je suis pour la vie votre ami. »
Mort de Nicolas Paques (Berloz – Autriche)
Le 22 mai 1809, PAQUES Nicolas-Joseph, de Berloz, fusilier au 4ème Régiment d’Infanterie de Ligne, décède à Essling.
Mort de Lambert Lancel (Celles – Autriche)
Le 21 novembre 1809, LANCEL Lambert-Joseph, de Celles, fusilier au 76ème Régiment d’Infanterie de Ligne, décède à Wels.