En 1794, la maison « des Trois Harengs » à Waremme, touche d’amont au cimetière, d’aval au chemin royal et vers le Geer à la ruelle qui tend au cimetière.
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Marie-Catherine Lejeune rédige son testament (Waremme)
Le 24 avril 1794, LEJEUNE Marie-Catherine signe son testament devant le notaire MELARD (de Waremme ?).
Les bénéficiaires sont:
- Sa belle-soeur, LHOEST Marie-Jeanne, à qui elle laisse une rente à Louvain; tout ce qui lui appartient en Brabant; sa part dans la maison « des Trois Harengs » à Waremme, touchant d’amont au cimetière, d’aval au chemin royal et vers le Geer à la ruelle qui tend au cimetière.
- Sa nièce (fille de la précédente), LEJEUNE Anne-Marie-Jeanne.
- Les autres enfants de son frère, LEJEUNE Jean-Michel (et de LHOEST Marie-Jeanne), se partagent le reste de ses biens.
Un collecteur d’égouts (Waremme)
En février 1957, un collecteur d’égouts est en construction à Waremme. Cet ouvrage est destiné à recevoir les déversements des égouts, sur toute la traversée de la ville, et à les diriger vers une station d’épuration qui sera édifiée en aval de l’agglomération.
Actuellement, c’est le Geer qui reçoit ces déversements. C’est un véritable collecteur à ciel ouvert, qui charrie toutes les eaux polluées.
Avec l’achèvement du collecteur et de la station d’épuration, l’oeuvre de salubrité publique et d’assainissement (commencée par la normalisation du Geer) sera conduite à bonne fin. La population sera protégée des émanations et des dangers d’infection que présente un cours d’eau infect et malpropre.
Réunion du conseil communal (Waremme)
Le 7 février 1941, le conseil communal de Waremme donne son aval pour la vente des moteurs de l’ancienne centrale électrique. Ces moteurs sont devenus inutiles car les besoins électriques sont devenus trop importants pour ceux-ci et que la ville est devenue membre de l’Association Liégeoise d’Electricité (A.L.E.).
Le bourgmestre plus autonome (Belgique – Allemagne)
En février 1941, les autorités allemandes renforcent les pouvoirs du bourgmestre. Le maïeur peut ainsi prendre des mesures extraordinaires, sans l’aval de son conseil.