Le (?) 1945, l’évêque de Liège KERKHOS (?) bénit le monument, érigé à Oreye, à la mémoire des 3 aviateurs français, l’adjudant MOQUELET et les sous-lieutenants MOREL et JACQUET, qui ont perdu la vie lorsque leur bombardier « Leo 45 », touché par la DCA allemande, s’est écrasé au carrefour « Ramkin » à Grandville.
En 1944, les Allemands déclarent que le château d’eau de Remicourt sert de point de repère pour les aviateurs alliés qui partent bombarder le Reich. Ils donnent l’ordre à la commune de peindre l’édifice en vert, sous peine de le dynamiter en cas de non exécution.
Durant la Deuxième Guerre Mondiale, le docteur PIROTTE Lucien, de Remicourt, participe à une chaîne d’évasion d’aviateurs alliés abattus.
Le 27 avril 1944, un bombardier canadien « Halifax », touché par la défense antiaérienne allemande, s’écrase à Rosoux. Les deux aviateurs parviennent à s’éjecter avant le crash. Ils seront recueillis par le secrétaire communal de Bleret, MARECHAL Louis.
En 1943, Madame COULEE, veuve âgée vivant seule à Momalle, cache régulièrement des personnes recherchées par les Allemands et, notamment, des aviateurs abattus qui veulent rejoindre l’Angleterre.
En 1943, des aviateurs anglais abattus sont accueillis et cachés à la ferme BUSTIN, à Pousset.
En 1943, le docteur PIROTTE est installé à Remicourt. Il accueille chez lui des aviateurs anglais abattus.
En 1942, COULEE (?), âgée de 75 ans, cache des aviateurs anglais, dans sa petite maison de Momalle.
En 1942, le Résistant du Front de l’Indépendance (F.I.), GERARD Charles, cache des aviateurs anglais chez le docteur PIROTTE, à Remicourt.
En 1942, le Résistant du Front de l’Indépendance (F.I.), GERARD Charles, cache des aviateurs anglais au presbytère de Lamine.