Arnould de Chaumont épouse Alice de Hermalle (Hesbaye)

En 1318, l’avoué de Hesbaye, l’écuyer DE CHAUMONT Arnould, épouse DE HERMALLE Alice, fille de DE HERMALLE Henri.

Arnould de Chaumont, avoué (Hesbaye)

En 1315, DE CHAUMONT Arnould, fils de DE CHAUMONT Louis III et de DE DIEST Yolande, succède à son père, comme avoué de Hesbaye.

Mort de Marie de Chaumont (Hesbaye – France)

Le 8 avril 1301, DE CHAUMONT Marie décède à (?). Elle était l’épouse de l’avoué de Hesbaye, D’AUDENARDE Arnould.

Elle sera inhumée à Valenciennes.

Arnould d’Audenarde, avoué (Hesbaye)

En 1261, D’AUDENARDE Arnould est nommé avoué de Hesbaye. Ses parents sont D’AUDENARDE Louis et DE LIMBOURG Mathilde. Son épouse sera DE CHAUMONT Marie.

Mariage de Louis d’Audenarde et de Mathilde de limbourg (Hesbaye)

En 1240,  l’avoué de Hesbaye, D’AUDENARDE Louis, épouse DE LIMBOURG Mathilde. Elle lui apporte la seigneurie de Lummen en dot (?).

Louis III de Chaumont, avoué (Hesbaye)

Entre 1306 et 1312, DE CHAUMONT Louis III est avoué de Hesbaye et Seigneur de Lummen. Ses parents sont D’AUDENARDE Arnould et DE CHAUMONT Marie (?). Son épouse est DE DIEST Yolande.

Wiger II, avoué (Hesbaye)

En 1124, WIGER II, dit « de Waremme » est avoué de Hesbaye.

Un avoué est chargé de la protection de l’ensemble des biens épiscopaux d’un lieu. Il y est également agent judiciaire, financier et militaire. Aux XIème et XIIème siècles, le Prince-Evêque désigne lui-même les titulaires des avoueries, tant pour les territoires de la mense épiscopale que pour ceux des collégiales et abbayes. Il mes choisit parmi ses proches et ses « ministeriales » les plus fidèles. La charge d’avoué deviendra transmissible, en ligne masculine et féminine (alors sous forme de dot), bien que des femmes, le plus souvent veuves, assistées d’un mambour, accèderont à l’avouerie.

Arnould de Looz, avoué (Donceel)

En 1088, le Comte DE LOOZ Arnould est avoué de l’abbaye de Saint-Jacques à Donceel.

La « Concordia Amicabilis » (Malmedy – Liège – Lantremange)

Le 12 mars 1300, une convention amiable, appelée « Concordia Amicabilis », est signée entre l’Abbé de Malmedy et le Prince-Evêque de Liège, à propos du village de Lantremange.

Malmedy y abandonne le droit seigneurial de nomination de la Cour de Justice. L’avoué y est devenu héréditaire. Il percevra les amendes. Il sera soumis au Prince-Evêque de Liège et à sa Cour féodale. Progressivement, les avoués de Lantremange vont prendre le titre de « Seigneur de Lantremange ».