En 1430, les boulangers et les brasseurs de Waremme doivent payer, pour l’année en cours, 15 livres au receveur de la mense épiscopale. Le tiers de la somme revient à l’avoué, tandis que l’évêque perçoit les 10 livres restantes.
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Rémunération de l’avoué (Waremme)
Au 11ème siècle, l’avoué de Waremme reçoit le tiers des amendes pour coups avec ou sans blessures, ainsi que le tiers de celles infligées aux larrons (voleurs) arrêtés.
Henry de Durbuy, avoué (Waremme)
Au 11ème siècle, la comtesse ERMENGARDE donne à l’avoué de Waremme, DE DURBUY Henri, une villa à Hartenge, afin qu’il s’abstienne de « pressurer ses patronnés ».
L’avoué au 11ème siècle (Waremme – Liège)
Au 11ème siècle, un avoué est un seigneur auquel une institution religieuse (cathédrale, collégiale, abbaye, …) ou un propriétaire de grands domaines, confie la défense de ces domaines.
Son devoir est de protéger les personnes contre tout acte de violence et les biens contre toute usurpation. Il peut ainsi repousser la force par la force, car l’action des Cours de Justice ne suffit pas pour assurer la sécurité des individus et la conservation des propriétés.
Louis, Avoué de Hesbaye (Les Awirs)
En 1202, l’Avoué de Hesbaye, LOUIS, réside dans sa villa aux Awirs.
Arrestation dans l’enquête sur la mort de Claudine Lewillon (Waremme)
Le 16 décembre 2013, MARDAGA Marcelle, l’ex belle-fille de LEWILLON Claudine, retrouvée morte le 14 décembre, avoue le meurtre et est placée sous mandat d’arrêt.
MARDAGA Marcelle, âgée de 44 ans, avait entamé une relation avec le fils de la victime en août dernier. La rupture est survenue en octobre. L’après-midi du drame, elle a eu une altercation avec son ex-compagnon et a utilisé contre lui un spray au poivre.
LEWILLON Claudine s’est alors rendue chez son ex belle-fille et c’est à cette occasion que MARDAGA Marcelle l’a frappée à coups de couteau. LEWILLON Claudine a rebroussé chemin, mais est décédée de ses blessures avant de pouvoir regagner son domicile. Elle serait morte d’une hémorragie abdominale.
Guillaume de la Marck capturé et condamné
Le 17 juin 1485, l’avoué de Hesbaye, DE LA MARCK Guillaume, est attiré par ruse dans l’enclave brabançonne de Hamal, pour participer à des festivités. Il est arrêté et transféré à Maastricht où il est jugé pour un meurtre commis jadis sur le territoire de cette ville et pour complot contre la vie du Prince.
(L’archiduc DE HABSBOURG Maximilien veut se débarrasser d’un ennemi dangereux)
Il sera condamné à mort et décapité.
Pierre de Sélys, avoué (Waremme)
Le 24 novembre 1689, le noble DE SELYS Pierre, seigneur de Fanson, déclare être propriétaire de Jeneffe et de l’avouerie de Waremme (suite au décès de sa mère COUNE Agnès ?)
Agnès Coune fait relief de l’avouerie de Waremme
Le 15 juillet 1684, la noble COUNE Agnès, Dame de Fanson, veuve du noble seigneur DE SELYS Godefroid, fait relief de l’avouerie de Waremme.
Le relief est une prestation financière due au seigneur, par l’héritier du vassal défunt ou par un acheteur, en échange de l’investiture du fief. Le vassal paye pour « relever » le fief
du mort ou du vendeur. Normalement égal à une année de revenu net, le relief est lourd en soi. […] Il devient intolérable lorsque les successions sont raprochées par plusieurs morts consécutives ».
Godefroid De Sélys renonce à l’avouerie de Waremme
Le 20 mai 1659, DE SELYS Godefroid renonce aux droits acquis, le 27 mai 1658, sur Jeneffe et l’avouerie de Waremme.

