En 1589, l’avoué de Waremme est DE BARBANCON Henri, Seigneur de Jeneffe.
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Henri de Barbancon, avoué de Waremme
Le 11 avril 1577, le noble et honoré DE BARBANSON Henri, seigneur de Villemont, de Jeneffe et de Hermée, fils de messire DE BARBANSON Bauduin, relève (fait relief de) l’avouerie de Waremme (suite au décès de son père ?).
Bauduin de Montjardin renégocie l’alliance de la Principauté de Liège avec la France (Waremme)
En 1399, le Roi de France, CHARLES VI, désire que le siège pontifical soit attribué à un candidat de son choix. C’est dans ce cadre, qu’il dépêche des messagers à Liège, pour obtenir l’appui de la Principauté l’obéissance et le soutien à ses décisions. Les Etats de la Principauté lui envoient une députation constituée de l’avoué de Liège, le Châtelain de Waremme, DE MONTJARDIN Bauduin, et des bourgmestres DE SURLET Jean et de DE BIERSET Gilles. Ils sont chargés de renouveler les anciennes alliances et d’assurer le Roi de France de la neutralité de la Principauté dans la désignation du Pape.
Une accalmie, après tant d’années d’agitations et de guerre, permet la reconstruction de Waremme et de son château.
Gilles de Ferme vend des terres entre Axhe et « le Vivier »
En 1273, l’avoué de Grand-Axhe, le chevalier DE FERME Gilles (de Faimes) vend une pièce de terre, située entre Axhe et « le Vivier ». L’acheteur est le trésorier du Val Saint-Lambert à Liège.
En tant qu’avoué, DE FERME Gilles défend les intérêts du « propriétaire » : l’Abbaye Saint-Denis de Paris. Il est, en quelque sorte, le gestionnaire ou le gérant des biens de Saint-Denis à Grand-Axhe. Mais dans cette vente, il semble que les terres lui appartiennent en propre.
Libert de Ferme renonce à son droit d’avoué (Grand-Axhe – Oleye)
En 1231, DE FERME Libert renonce au droit d’avoué qu’il possède à Grand-Axhe et à Oleye.
Baudouin 1er de Jeneffe devient châtelain de Waremme
En 1230, à la demande du Légat du Pape, le Cardinal-Diacre OTTON, le Prince-Evêque de Liège, D’EPPES Jean, concède la châtellenie de Waremme en fief à DE JENEFFE Baudouin. Il s’agit peut-être (?) d’un geste de reconnaissance, pour le rôle joué par Baudouin dans l’arrestation du Comte D’ALTENA D’ISENBERG, le meurtrier de l’archevêque de Cologne, DE BERGHES Englebert, en 1225.
DE JENEFFE Baudouin rend hommage au Prince-Evêque de Liège et promet, sur la foi, que son successeur ne se marierait pas en dehors de la famille allodiale de l’Eglise de Liège (pour que le domaine reste un fief du Prince-Evêque ?). Ses frères, D’OREYE DE JENEFFE Arnould et DE LIMONT DE HERBAIS Robert, sont donnés comme garants de cette promesse.
DE JENEFFE Baudouin 1er est le premier châtelain de Waremme connu. Il le restera jusqu’en 1248. En acquérant la châtellenie, Baudouin acquiert le droit de percevoir la dîme à Waremme.
(Entre 1078, date de la donation du domaine par ERMENGARDE au Prince-Evêque de Liège, et 1229, le domaine de Waremme était probablement exploité par un avoué, au nom du Prince-Evêque).
Des abbayes se disputent la dîme de Lantremange
En 1198, un conflit oppose l’abbaye de Saint-Denis à Paris à l’abbaye de Stavelot-Malmédy, à propos de la dîme de Lantremange et d’Oleye.
DE HEMRICOURT Fastré, l’avoué de ces deux paroisses consulte les archives et constate que la dîme appartient bel et bien à Saint-Denis et que seul un « cens recognitif » doit être versé à l’abbaye de Stavelot-Malmédy. Le conflit est ainsi réglé à l’amiable.
Godefroid de Bouillon, Avoué du Saint-Sépulchre (Belgique – Israël)
Le 22 juillet 1099, DE BOUILLON Godefroid refuse le titre de Roi de Jérusalem et devient « L’Avoué du Saint-Sépulchre ».
Henri de Durbuy, avoué de Waremme
En 1078, lorsque la Comtesse ERMENGARDE donne à l’Eglise de Liège une bonne partie de ses biens, elle désigne le Comte DE DURBUY Henri comme avoué. Il doit s’engager par serment à ce que lui ou son successeur rende le château de Waremme, s’il ne respecte pas les dispositions qu’elle vient de prendre. (Il décèdera après 1097).