Vers 1550 (?), l’avouerie de Kemexhe est confiée à un chanoine de Saint-Jean. Sa Cour de Justice est compétente jusqu’à Herstappe et va en Appel à la Souveraine Justice de Liège.
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L’avouerie de Fize-le-Marsal
En 1270, l’avouerie de Fize-le-Marsal est aux mains de DE HEMRICOURT Guillaume.
Cession de l’avouerie (Fize-le-Marsal)
En 1271, DE HEMRICOURT Guillaume cède l’avouerie de Fize-le-Marsal à Sainte-Croix à Liège.
Un nouvel avoué (Fize-le-Marsal)
En 1685, l’avouerie de Fize-le-Marsal échoit au Baron DE SURLET.
Un nouvel avoué (Fize-le-Marsal)
En 1714, l’avouerie de Fize-le-Marsal échoit à la famille DE LIEDEKERKE. Elle la conservera jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.
Conflit entre Henri le Guerroyeur et Louis de Looz (Saint-Trond – Waremme – Liège)
En 1203, une dissension violente éclate entre de Duc DE LOUVAIN Henri, dit « Le Guerroyeur », et le Comte DE LOOZ Louis, au sujet de l’avouerie de Saint-Trond.
Le Duc commence à ravager les moissons. Le Comte fait appel à l’assistance du Prince-Evêque de Liège, son suzerain. Ce dernier lève des milices et constitue une grande armée commandée par DE SAINT-JACQUES Renier. Il mande au Comte de venir le rejoindre à Waremme avec ses troupes. Les 2 armées se rencontrent au jour fixé et campent à Waremme 8 jours entiers.
L’intervention du Comte de Namur parviendra à réconcilier les belligérants.
Marie de Boulant rédige son testament (Waremme – Jeneffe)
Le 16 mars 1478, DE BOULANT Marie rédige son testament, par lequel elle lègue à son neveu, DE BOULANT Jean, la Seigneurie de Jeneffe, la châtellenie et l’avouerie de Waremme.
L’avouerie de Momalle
Le 7 décembre 1366, DE CORSWAREM Arnould III acquiert l’avouerie de Momalle.
Vente de l’avouerie de Goyer
Le 12 avril 1241, DE CORSWAREM Guillaume vend l’avouerie de Goyer au Chapitre Saint-Jean à Liège.
Guillaume de Corswarem, Seigneur (Corswarem)
En 1238, le chevalier DE CORSWAREM Guillaume est Seigneur de Corswarem. Il a succédé à son père, DE CORSWAREM Robert. Sa part de l’héritage paternel comprend:
- des terres et prés, cens et chapons que possédait son père sur le territoire de Corswarem et de Willine, sur l’avouerie de Goyer et Willine;
- un cens de 12 chapons à percevoir au domaine de Boëlhe;
- une partie des possessions paternelles à Fresin
- 2 prés à Corswarem
- 1 pré à Willine
- la maison où il demeure à Corswarem
Le reste des possessions paternelles devant être partagé entre les 2 autres frères.